L’auteur de l’agression contre un enseignant juif ce lundi matin à Marseille est un adolescent qui aura 16 ans dans les prochains jours. De nationalité turque et d’origine kurde, il dit avoir agi « au nom d’Allah » et de « Daech » lors de son interpellation, a indiqué le procureur de la République.
L’attaque s’est produite en pleine rue dans les quartiers nord de Marseille. L'agresseur a asséné plusieurs coups de machette à sa victime, un professeur de 35 ans enseignant à l'institut franco-hébraïque du 9e arrondissement, la blessant au dos et à la main. Il s'est ensuite enfui en courant avant d'être interpellé 10 minutes plus tard par la police. La section antiterroriste du parquet de Paris s'est saisie de l'enquête, ouverte pour « tentative d'assassinat aggravée en raison de l'appartenance à une religion et en relation avec une entreprise terroriste ».
Le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve a rapidement apporté son « soutien à la victime », avant de souligner la menace à laquelle la France fait face. « Ce ne sont pas que des cellules organisées qui peuvent mener des attaques », dit-il au micro de RFI, mais aussi des « individus isolés qui n'étaient pas du tout connus des services de police » et qui passent à l'acte « sous l'influence de la propagande diffusée notamment sur les réseaux internet par Daech. »
Source : Rfi.fr
L’attaque s’est produite en pleine rue dans les quartiers nord de Marseille. L'agresseur a asséné plusieurs coups de machette à sa victime, un professeur de 35 ans enseignant à l'institut franco-hébraïque du 9e arrondissement, la blessant au dos et à la main. Il s'est ensuite enfui en courant avant d'être interpellé 10 minutes plus tard par la police. La section antiterroriste du parquet de Paris s'est saisie de l'enquête, ouverte pour « tentative d'assassinat aggravée en raison de l'appartenance à une religion et en relation avec une entreprise terroriste ».
Le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve a rapidement apporté son « soutien à la victime », avant de souligner la menace à laquelle la France fait face. « Ce ne sont pas que des cellules organisées qui peuvent mener des attaques », dit-il au micro de RFI, mais aussi des « individus isolés qui n'étaient pas du tout connus des services de police » et qui passent à l'acte « sous l'influence de la propagande diffusée notamment sur les réseaux internet par Daech. »
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