Renvoyé à la date du 18 aout, le procès de Karim Wade n'est pas prés de faire son épilogue. Il est fait pour durer, car ce ne sera pas pour maintenant que les juges vont se pencher sur le fond du dossier. Pour cause, les avocats de la défense de Karim Wade soutiennent, par la voix de Me Olivier, qu'ils se plieront sur la réponse de la Cour sur la compétence à juger de cette affaire.
Mais il annonce qu'il leur reste une douzaine d'exceptions à soulever. Toutefois, il s'empresse de préciser qu'ils ne les dévoileront que le moment opportun. S'agissant du procès, le bâtonnier de Paris de dire que: « Si un des témoins ne se présente pas, nous ne plaiderons pas. Nous ne serons plus les avocats de la défense, mais, de simples observateurs, à l'image des organisations internationales qui sont en train de suivre les procès ».
Me Olivier Sur lance une première victoire en disant : « La situation est paradoxale, mais, nous avons gagné de par le sourire, de par les avocats qu'ils ont voulu éliminer, de par le visage béat de Karim. Ils ont commis le premier incident en accusant Karim de criminel et Wade de père assassin ».
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