Mangué Grassi, un présumé violeur en série qui jetait sa dévolue sur les femmes vendeuses de petit-déjeuner, a été mis hors d’état de nuire. Il a été arrêté puis déféré au parquet pour viol avec usage de bombe asphyxiante.
Technicien de surface de profession, le sieur Grassi, un Gabonais âgé de 36 ans, est obsédé par les femmes commerçantes. Pour satisfaire sa libido, il promettait du travail au Port autonome de Dakar ses victimes. Il les conduisait dans sa chambre où il faisait usage d’une bombe asphyxiante pour les endormir avant de les violer.
Une de ses présumées victimes, Mariama Camara, raconte les faits : « Il m’a fait entrer dans une chambre où il m’a demandé de patienter. C’est ainsi que Grassi a fermé la porte avant se servir d’une bombe asphyxiante contre moi. J’étais inconsciente. Et je me suis réveillée 4 heures plus tard, toute nue. Mes parties intimes étaient mouillées de sperme (…) ».
Elle ajoute : « Lorsque je lui ai posé des questions, Grassi m’a menacé de mort et de rentrer après chez lui au Gabon ». C’est ainsi qu’elle a déposé une plainte sur demande son mari, a-t-il avancé.
Interrogé, le mis en cause a nié les faits. Mais, il a été confondu par d’autres dames qui ont déposé des plaintes contre lui pour viol. Il a été déféré au parquet.
Technicien de surface de profession, le sieur Grassi, un Gabonais âgé de 36 ans, est obsédé par les femmes commerçantes. Pour satisfaire sa libido, il promettait du travail au Port autonome de Dakar ses victimes. Il les conduisait dans sa chambre où il faisait usage d’une bombe asphyxiante pour les endormir avant de les violer.
Une de ses présumées victimes, Mariama Camara, raconte les faits : « Il m’a fait entrer dans une chambre où il m’a demandé de patienter. C’est ainsi que Grassi a fermé la porte avant se servir d’une bombe asphyxiante contre moi. J’étais inconsciente. Et je me suis réveillée 4 heures plus tard, toute nue. Mes parties intimes étaient mouillées de sperme (…) ».
Elle ajoute : « Lorsque je lui ai posé des questions, Grassi m’a menacé de mort et de rentrer après chez lui au Gabon ». C’est ainsi qu’elle a déposé une plainte sur demande son mari, a-t-il avancé.
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