«Le refus au dialogue va impacter sur la prochaine présidentielle parce qu’il y a des questions qui auraient dû être discutées. On est aujourd’hui à moins de 18 mois de l’élection présidentielle, le constat a été fait qu’il y a eu une pléthore de listes aux dernières élections législatives», a martelé Momar Ndiongue qui se prononçait sur le statu quo qui prévaut après l’appel au dialogue lancé par le Président Macky Sall.
L’analyste politique de poursuivre sur les ondes de Sud Fm : «Il est question de rationaliser les partis politiques. Si on ne le fait pas, on risque d’aller vers une élection présidentielle dans des conditions encore plus compliquées qu’il ne l’ont été lors des Législatives».
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