L’Archevêque de Dakar a profité de sa visite chez les fidèles chrétiens de la Paroisse Notre Dame du Cap-Vert de Pikine pour appeler à une gestion équitable du pétrole et du gaz. Monseigneur Benjamin Ndiaye a également saisi l’occasion pour convoquer les hommes politiques au dialogue politique.
«On a vraiment un chômage endémique dans le pays qui est lié à notre faiblesse économique. Je fonde beaucoup d’espoir sur les nouvelles ressources qui ont été découvertes qui demanderont une gestion rigoureuse », a-t-il déclaré. Poursuivant, l’Archevêque de souligner : « On en a parlé dans la rencontre avec les Imams. Et, nous nous sommes fait un devoir pour que le pétrole et le gaz ne soient pas une malédiction mais une bénédiction pour notre pays qui contribue à son développement ».
Monseigneur Benjamin Ndiaye a, par ailleurs appelé au dialogue pour la paix au Sénégal. « Il est dommage qu’on ne puisse pas s’asseoir pour parler en paix et chercher où se trouve vraiment les enjeux. Je pense que plus on est en paix, plus on peut travailler pour le développement. D’abord les hommes politiques sont habitués à se bagarrer entre eux ; il y a une lutte continue pour le pouvoir. Je déplore encore qu’ils ne puissent pas s’entendre pour l’essentiel », a-t-il toutefois déploré.
«On a vraiment un chômage endémique dans le pays qui est lié à notre faiblesse économique. Je fonde beaucoup d’espoir sur les nouvelles ressources qui ont été découvertes qui demanderont une gestion rigoureuse », a-t-il déclaré. Poursuivant, l’Archevêque de souligner : « On en a parlé dans la rencontre avec les Imams. Et, nous nous sommes fait un devoir pour que le pétrole et le gaz ne soient pas une malédiction mais une bénédiction pour notre pays qui contribue à son développement ».
Monseigneur Benjamin Ndiaye a, par ailleurs appelé au dialogue pour la paix au Sénégal. « Il est dommage qu’on ne puisse pas s’asseoir pour parler en paix et chercher où se trouve vraiment les enjeux. Je pense que plus on est en paix, plus on peut travailler pour le développement. D’abord les hommes politiques sont habitués à se bagarrer entre eux ; il y a une lutte continue pour le pouvoir. Je déplore encore qu’ils ne puissent pas s’entendre pour l’essentiel », a-t-il toutefois déploré.
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