En effet, dans un communiqué l’organisation de défense des droits de l’homme, commence par s’incliner devant la mémoire de feu Charles Paul Alphonse Ndour et n profite pour présenter ses condoléances à sa famille. Ce, avant que la RADDHO ne fasse ce constat. A savoir qu’«en l’espace d’un an, trois (3) migrants Sénégalais ont perdu la vie au Maroc dont Moussa Seck mort lui-aussi à Tanger en octobre 2013, suite à une chute du quatrième étage d’un immeuble, dans des circonstances confuses. Et la mort par arme blanche d’Ismaïla Faye à Fès. C’était le 14 août 2013, au cours d’une rixe ».
Ne supportant plus une telle situation, les droits de l’hommiste « exige de l’Etat du Sénégal, l’ouverture d’une enquête judiciaire pour que les responsabilités soient situées et les auteurs de ces crimes identifiés et traduits en justice pour combattre l’impunité ». Aboubacry Mbodj et Cie demandent aussi au « Maroc de veiller au strict respect de ses engagements vis-à-vis des instruments juridiques internationaux auxquels il a souscrit, pour éviter que de tels événements se reproduisent ».
L’organisation termine en lançant un appel à l’Organisation des Nations Unies (ONU) notamment au comité sur les migrants. La requête de la RADDHO, n’est autre que « l’envoi d’une mission d’enquête du Rapporteur spécial sur les crimes commis à l’égard des migrants subsahariens dans les pays d’accueil et de transit. Et aux côtés du royaume chérifien, les Sénégalais citent aussi la Libye et l’Algérie.
Ne supportant plus une telle situation, les droits de l’hommiste « exige de l’Etat du Sénégal, l’ouverture d’une enquête judiciaire pour que les responsabilités soient situées et les auteurs de ces crimes identifiés et traduits en justice pour combattre l’impunité ». Aboubacry Mbodj et Cie demandent aussi au « Maroc de veiller au strict respect de ses engagements vis-à-vis des instruments juridiques internationaux auxquels il a souscrit, pour éviter que de tels événements se reproduisent ».
L’organisation termine en lançant un appel à l’Organisation des Nations Unies (ONU) notamment au comité sur les migrants. La requête de la RADDHO, n’est autre que « l’envoi d’une mission d’enquête du Rapporteur spécial sur les crimes commis à l’égard des migrants subsahariens dans les pays d’accueil et de transit. Et aux côtés du royaume chérifien, les Sénégalais citent aussi la Libye et l’Algérie.
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