Un forum sur l'éradication des Mutilations Génitales Féminines (MGF) a été lancé à Ziguinchor, sous l'initiative de la direction régionale de la Famille et de la Protection des groupes vulnérables. Lors de la rencontre, la directrice régionale, Mariama Diallo Ba, a souligné la nécessité de collaborer avec les Badianu Gox pour mettre fin à l'excision, considérant les MGF comme une forme fléau et de violence envers les femmes.
L'ouverture du forum a réuni des dignitaires locaux, dont l'adjoint au gouverneur de Ziguinchor chargé des Affaires administratives, Sidi Guissé Diongue, et plusieurs femmes de la région. Mme Ba a expliqué que ce forum s'inscrit dans le cadre des efforts visant à éradiquer cette pratique aux conséquences graves sur la santé reproductive des jeunes filles.
« Nous voulons nous débarrasser de ce fléau qui peut engendrer des complications lors des accouchements, provoquer l'infertilité ou même la mort », a soutenu Mme Ba. Elle a rappelé que les statistiques de 2018 indiquaient un taux de prévalence des Mutilations génitales féminines de 25,3% à l'échelle nationale, couvrant les filles et les femmes âgées de 15 à 49 ans.
Mariama Diallo Ba a plaidé en faveur d'une action soutenue, soulignant que « les jeunes filles ne devraient plus subir de telles atrocités liées à des pratiques anciennes. Des plaidoyers et des actions concrètes de sensibilisation seront déployés dans toute la région pour encourager l'abandon de ces pratiques ».
En réaction, l'adjoint au gouverneur chargé des Affaires administratives, Sidi Guissé Diongue, a appelé à une protection renforcée des jeunes filles. Pour lui, « personne ne devrait souffrir à cause de l'excision », rapporte APS.
L'ouverture du forum a réuni des dignitaires locaux, dont l'adjoint au gouverneur de Ziguinchor chargé des Affaires administratives, Sidi Guissé Diongue, et plusieurs femmes de la région. Mme Ba a expliqué que ce forum s'inscrit dans le cadre des efforts visant à éradiquer cette pratique aux conséquences graves sur la santé reproductive des jeunes filles.
« Nous voulons nous débarrasser de ce fléau qui peut engendrer des complications lors des accouchements, provoquer l'infertilité ou même la mort », a soutenu Mme Ba. Elle a rappelé que les statistiques de 2018 indiquaient un taux de prévalence des Mutilations génitales féminines de 25,3% à l'échelle nationale, couvrant les filles et les femmes âgées de 15 à 49 ans.
Mariama Diallo Ba a plaidé en faveur d'une action soutenue, soulignant que « les jeunes filles ne devraient plus subir de telles atrocités liées à des pratiques anciennes. Des plaidoyers et des actions concrètes de sensibilisation seront déployés dans toute la région pour encourager l'abandon de ces pratiques ».
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