"Vive la Tunisie, vive la révolution et vive la démocratie!", titre le quotidien arabophone le Maghreb alors que le journal Achourouk se félicite d'une "Couronne internationale sur la tête de la Tunisie". "L'espoir renaît", titre La Presse, en notant que ce prix, "la plus belles des distinctions, doit ouvrir de nouvelles perspectives devant un processus encore fragile".
Le Nobel doit aussi "renforcer l'esprit consensuel qui a prévalu tout au long de la période du dialogue national et ressouder l’unité entre les Tunisiens pour faire face aux menaces et au dangers qui les guettent de toutes parts", ajoute ce quotidien francophone. "Dans un climat politico-social morose, l'information est devenue comme une éclaircie embellissant le ciel tunisien", écrit Le Temps. Parce que "lorsque le monde entier soutient le pays abritant paisiblement la Ghriba (la plus ancienne synagogue d'Afrique dans le sud du pays), l'optimisme est permis", écrit encore ce journal francophone.
Pour Le Quotidien, "il est clair que le comité du prix Nobel a voulu adresser un message fort au monde arabe en récompensant quatre acteurs-clés de la société civile tunisienne qui ont permis d'asseoir la transition démocratique". "On a voulu faire de la Tunisie un cas d'école pour tous les Arabes, mais surtout prouver que le projet de ce printemps n'était nullement dramatique, malgré les malheurs qu'il a causés à d'autres pays", note ce journal francophone.
Composé de l'UGTT, syndicat historique en Tunisie et fer de lance pour son indépendance, du patronat (UTICA), de la Ligue tunisienne des droits de l'homme (LTDH) et de l'Ordre des avocats, le quartette a été récompensé "pour sa contribution décisive à la construction d'une démocratie pluraliste à la suite de la Révolution du jasmin de 2011", selon le comité Nobel.
Le Nobel doit aussi "renforcer l'esprit consensuel qui a prévalu tout au long de la période du dialogue national et ressouder l’unité entre les Tunisiens pour faire face aux menaces et au dangers qui les guettent de toutes parts", ajoute ce quotidien francophone. "Dans un climat politico-social morose, l'information est devenue comme une éclaircie embellissant le ciel tunisien", écrit Le Temps. Parce que "lorsque le monde entier soutient le pays abritant paisiblement la Ghriba (la plus ancienne synagogue d'Afrique dans le sud du pays), l'optimisme est permis", écrit encore ce journal francophone.
Pour Le Quotidien, "il est clair que le comité du prix Nobel a voulu adresser un message fort au monde arabe en récompensant quatre acteurs-clés de la société civile tunisienne qui ont permis d'asseoir la transition démocratique". "On a voulu faire de la Tunisie un cas d'école pour tous les Arabes, mais surtout prouver que le projet de ce printemps n'était nullement dramatique, malgré les malheurs qu'il a causés à d'autres pays", note ce journal francophone.
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