Abass Fall, 2e vice-président Fepes
La Fepes blanchit le ministre de l’Enseignement supérieur et accuse celui des Finances. Elle est d’avis que c’est Amadou Bâ qui ne veut pas les payer, car, dénonce-t-elle, «il a d’autres priorités ailleurs». Et, pour se faire entendre, ces syndicalistes comptent tenir un sit-in devant ledit ministère.
«Nous comptons organiser un sit-in devant le ministère des Finances, de l’Economie et du Plan, parce que nous pensons que c’est à ce niveau que tout est bloqué. Nous allons déposer une demande d’autorisation et attendre l’aval du Préfet comme toute personne responsable», informe le deuxième vice-président de la Fepes qui faisait face à la presse.
Selon Abass Fall : «Il y avait un décret d’avance de 4 milliards qui concernait 50% des 8 milliards qui devait être versés aux Epes (Etablissements privés de l'enseignement supérieur) pour l’année 2016-2017. Et, par la faute du ministère des Finance, nous avons perdu ces 4 milliards».
Les syndicats dénoncent une lenteur dans l'exécution des points du protocole d'accords qu'ils ont signé en 2013 avec l’Etat du Sénégal.
«Nous comptons organiser un sit-in devant le ministère des Finances, de l’Economie et du Plan, parce que nous pensons que c’est à ce niveau que tout est bloqué. Nous allons déposer une demande d’autorisation et attendre l’aval du Préfet comme toute personne responsable», informe le deuxième vice-président de la Fepes qui faisait face à la presse.
Selon Abass Fall : «Il y avait un décret d’avance de 4 milliards qui concernait 50% des 8 milliards qui devait être versés aux Epes (Etablissements privés de l'enseignement supérieur) pour l’année 2016-2017. Et, par la faute du ministère des Finance, nous avons perdu ces 4 milliards».
Les syndicats dénoncent une lenteur dans l'exécution des points du protocole d'accords qu'ils ont signé en 2013 avec l’Etat du Sénégal.
La dette passe de 16 à 24 milliards Fcfa
Dans ce protocole d'accord, rappellent-ils, «l’Etat devait nous payer en trois tranches, une première tranche de 50%, une deuxième de 25% et une troisième de 25%».
Et, «l’Etat nous doit une ardoise de 16 milliards de F Cfa. Pire, ils renseignent que, cette dette dépasse aujourd’hui, plus de 20 milliards (24 milliards de F Cfa exactement).
Abass Fall et ses camardes expliquent que : «8 milliards F cfa concernent la facture que l’Etat doit aux Epes seulement sur l’année 2016-2017 et ces 8 milliards seront reconduits pour l’année 2017-2018. A cette somme, s’ajoute d’autres montants qu’on nous doit pour les années, 2013, 2014, et 2015».
Très formel, le deuxième vice-président de la Fepes d’informer qu’ils ne vont pas reculer sur le montant avancé. Il appelle ainsi ces personnes qui contredisent cette somme à leur «prouver le contraire».
Et, «l’Etat nous doit une ardoise de 16 milliards de F Cfa. Pire, ils renseignent que, cette dette dépasse aujourd’hui, plus de 20 milliards (24 milliards de F Cfa exactement).
Abass Fall et ses camardes expliquent que : «8 milliards F cfa concernent la facture que l’Etat doit aux Epes seulement sur l’année 2016-2017 et ces 8 milliards seront reconduits pour l’année 2017-2018. A cette somme, s’ajoute d’autres montants qu’on nous doit pour les années, 2013, 2014, et 2015».
Très formel, le deuxième vice-président de la Fepes d’informer qu’ils ne vont pas reculer sur le montant avancé. Il appelle ainsi ces personnes qui contredisent cette somme à leur «prouver le contraire».
Dans le cadre de leur nouveau plan d’action, le vice-président de la Fepes, Babara Sène et ses collègues exigent une rencontre avec le Premier ministre, en présence du ministre des Finances, Amadou Bâ et celui de l’Enseignement Supérieur, Mary Teuw Niane.
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