C’est la norme de ce début de saison. Quand le navire lyonnais tangue, Malick Fofana est souvent là pour le redresser et se la jouer en capitaine. «C’est un joueur qui est arrivé doucement, grâce à son caractère. Mais dans tous les cas, son talent nous a vite sauté aux yeux. C’est un joueur avec qui on a voulu prendre du temps. Je pense que certains se questionnaient il y a un mois en arrière sur sa capacité à commencer les matchs. Ce palier, il vient de le franchir. Maintenant, c’est une affaire de durée et d’augmentation des performances», relevait Pierre Sage en conférence de presse cette semaine.
Autant dire que la nouvelle prestation du Belge de 19 ans face à Lille (1-1), ce vendredi, devrait le conforter dans ses idées. Joueur le plus déséquilibrant, c’est encore l’ailier de poche qui a tenté de mettre un peu de vie lorsque son équipe était sous assistance respiratoire en première période. Et s’il n’a pas toujours été escorté par la réussite, il a été récompensé lors du second acte avec ce nouveau but en renard, son 5e. «C’est dommage que l’on ait pas joué comme ça en première période, regrettait le néo-international belge au micro de DAZN après le match. J’essaie toujours d’aider l’équipe, j’ai marqué et ça fait du bien, donc on est content, mais on aurait aimé avoir les trois points.»
Il est le meilleur buteur lyonnais cette saison
En l’absence d’Alexandre Lacazette, là mais pas vraiment là pendant les rencontres, Fofana a su briser ce plafond de verre, à savoir être décisif (il totalise déjà 5 buts et 2 passes décisives en 13 matches), ce qu’il n’avait pas toujours su faire lors des derniers mois, que ce soit à l’OL, ou en Belgique. Aujourd’hui, difficile de quantifier son potentiel, tant il franchit de paliers, entre son nouveau rôle de titulaire et son statut d’international belge, étrenné face à l’Italie le mois dernier. Présent au micro de DAZN après le match, l’autre homme fort du début de saison lyonnais, Corentin Tolisso, lui prédisait d’ailleurs un avenir radieux.
Avec Malick, c’est exactement une posture de grand frère que j’ai. Il faut essayer de lui parler le plus possible, mais c’est un jeune qui a énormément de talent, c’est un gros travailleur, qui a la tête sur les épaules, et je pense que c’est ce qui fait sa force, soulignait le champion du monde 2018. L’année dernière, il a montré qu’il pouvait entrer dans les matches et être décisif. Il avait un peu de mal quand il commençait, mais cette année, il commence à franchir les paliers. Quand il est titulaire, il arrive à faire ses matches, il est décisif et nous fait énormément de bien. Le plus compliqué, c’est d’être régulier sur une demi-saison, puis sur une saison, et plusieurs saisons… Donc lui, il est encore jeune, et j’espère qu’il va réussir à le faire sur toute la saison. Il n’y a plus qu’à.
Autant dire que la nouvelle prestation du Belge de 19 ans face à Lille (1-1), ce vendredi, devrait le conforter dans ses idées. Joueur le plus déséquilibrant, c’est encore l’ailier de poche qui a tenté de mettre un peu de vie lorsque son équipe était sous assistance respiratoire en première période. Et s’il n’a pas toujours été escorté par la réussite, il a été récompensé lors du second acte avec ce nouveau but en renard, son 5e. «C’est dommage que l’on ait pas joué comme ça en première période, regrettait le néo-international belge au micro de DAZN après le match. J’essaie toujours d’aider l’équipe, j’ai marqué et ça fait du bien, donc on est content, mais on aurait aimé avoir les trois points.»
Il est le meilleur buteur lyonnais cette saison
En l’absence d’Alexandre Lacazette, là mais pas vraiment là pendant les rencontres, Fofana a su briser ce plafond de verre, à savoir être décisif (il totalise déjà 5 buts et 2 passes décisives en 13 matches), ce qu’il n’avait pas toujours su faire lors des derniers mois, que ce soit à l’OL, ou en Belgique. Aujourd’hui, difficile de quantifier son potentiel, tant il franchit de paliers, entre son nouveau rôle de titulaire et son statut d’international belge, étrenné face à l’Italie le mois dernier. Présent au micro de DAZN après le match, l’autre homme fort du début de saison lyonnais, Corentin Tolisso, lui prédisait d’ailleurs un avenir radieux.
Avec Malick, c’est exactement une posture de grand frère que j’ai. Il faut essayer de lui parler le plus possible, mais c’est un jeune qui a énormément de talent, c’est un gros travailleur, qui a la tête sur les épaules, et je pense que c’est ce qui fait sa force, soulignait le champion du monde 2018. L’année dernière, il a montré qu’il pouvait entrer dans les matches et être décisif. Il avait un peu de mal quand il commençait, mais cette année, il commence à franchir les paliers. Quand il est titulaire, il arrive à faire ses matches, il est décisif et nous fait énormément de bien. Le plus compliqué, c’est d’être régulier sur une demi-saison, puis sur une saison, et plusieurs saisons… Donc lui, il est encore jeune, et j’espère qu’il va réussir à le faire sur toute la saison. Il n’y a plus qu’à.
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