Coordonner les actions des États
Ce texte demande aux États qui ont la capacité de le faire de prendre « toutes les mesures nécessaires (..) pour redoubler d’efforts et coordonner leurs efforts » afin de prévenir et stopper les actes terroristes commis spécifiquement par l’EI, ainsi que par d’autres groupes terroristes associés à Al-Qaïda.
Prendre des mesures « sur le territoire sous le contrôle » de l’EI et tarir leur financement
Le texte fait référence à des mesures prises « sur le territoire sous le contrôle » de l’EI en Syrie et Irak et en conformité avec les lois internationales, sans donner davantage de précision. Le texte indique que les États doivent prendre des mesures pour tarir les sources de financement des groupes extrémistes.
« Il ne s’agit pas d’une autorisation légale donnée par l’ONU aux raids menés en Syrie et Irak contre l’EI mais d’un soutien politique aux opérations engagées ou à venir », a expliqué un diplomate. Les raids aériens français, a-t-il souligné, ont pour base légale l’article 51 de la charte de l’ONU qui permet à tout pays de se défendre contre une attaque.
Condamner à nouveau les attentats
Dans ce projet, le Conseil réitère sa condamnation non seulement des attentats de Paris mais aussi des récentes opérations perpétrées en octobre et novembre par l’EI à Sousse (Tunisie), à Ankara, à Beyrouth et contre un avion russe abattu au-dessus du Sinaï égyptien.
Empêcher les recrutements
La proposition française invite à nouveau les pays à intensifier leurs efforts pour empêcher leurs citoyens de rejoindre les rangs de l’EI en Syrie et en Irak.
Paris espère faire adopter ce texte dans les prochains jours, au plus tard au début de la semaine prochaine.
La proposition russe
De son côté, la Russie a présenté mercredi soir au Conseil une nouvelle mouture de son projet de résolution déjà proposé fin septembre par Vladimir Poutine. Mais ce texte, qui préconise d’associer le régime de Bachar al-Assad à la lutte contre les groupes extrémistes en Syrie, se heurte à de fortes réticences des Occidentaux.
« Comme annoncé par le Président de la République (..), la France a proposé un projet de résolution court, fort et centré sur un objectif prioritaire : la lutte contre l’ennemi commun, Daesh », a déclaré l’ambassadeur français à l’ONU, François Delattre. Avant d’ajouter : « La menace exceptionnelle et sans précédent que représente ce groupe pour l’ensemble de la communauté internationale exige une réponse forte, unie et sans ambiguïté du Conseil de Sécurité ».
source:jeune Afrique
Ce texte demande aux États qui ont la capacité de le faire de prendre « toutes les mesures nécessaires (..) pour redoubler d’efforts et coordonner leurs efforts » afin de prévenir et stopper les actes terroristes commis spécifiquement par l’EI, ainsi que par d’autres groupes terroristes associés à Al-Qaïda.
Prendre des mesures « sur le territoire sous le contrôle » de l’EI et tarir leur financement
Le texte fait référence à des mesures prises « sur le territoire sous le contrôle » de l’EI en Syrie et Irak et en conformité avec les lois internationales, sans donner davantage de précision. Le texte indique que les États doivent prendre des mesures pour tarir les sources de financement des groupes extrémistes.
« Il ne s’agit pas d’une autorisation légale donnée par l’ONU aux raids menés en Syrie et Irak contre l’EI mais d’un soutien politique aux opérations engagées ou à venir », a expliqué un diplomate. Les raids aériens français, a-t-il souligné, ont pour base légale l’article 51 de la charte de l’ONU qui permet à tout pays de se défendre contre une attaque.
Condamner à nouveau les attentats
Dans ce projet, le Conseil réitère sa condamnation non seulement des attentats de Paris mais aussi des récentes opérations perpétrées en octobre et novembre par l’EI à Sousse (Tunisie), à Ankara, à Beyrouth et contre un avion russe abattu au-dessus du Sinaï égyptien.
Empêcher les recrutements
La proposition française invite à nouveau les pays à intensifier leurs efforts pour empêcher leurs citoyens de rejoindre les rangs de l’EI en Syrie et en Irak.
Paris espère faire adopter ce texte dans les prochains jours, au plus tard au début de la semaine prochaine.
La proposition russe
De son côté, la Russie a présenté mercredi soir au Conseil une nouvelle mouture de son projet de résolution déjà proposé fin septembre par Vladimir Poutine. Mais ce texte, qui préconise d’associer le régime de Bachar al-Assad à la lutte contre les groupes extrémistes en Syrie, se heurte à de fortes réticences des Occidentaux.
« Comme annoncé par le Président de la République (..), la France a proposé un projet de résolution court, fort et centré sur un objectif prioritaire : la lutte contre l’ennemi commun, Daesh », a déclaré l’ambassadeur français à l’ONU, François Delattre. Avant d’ajouter : « La menace exceptionnelle et sans précédent que représente ce groupe pour l’ensemble de la communauté internationale exige une réponse forte, unie et sans ambiguïté du Conseil de Sécurité ».
source:jeune Afrique
Autres articles
-
Narcotrafic: le Maroc extrade un chef présumé de réseau, la coopération judiciaire avec la France se renforce
-
Nigeria: la brouille entre Washington et Abuja «largement résolue», annonce le gouvernement
-
Côte d’Ivoire: ouverture du procès de l'attaque jihadiste de Kafalo en juin 2020
-
Sommet de l'AES: absence imprévue du président burkinabè Ibrahim Traoré au premier jour
-
Nigeria: libération des 130 derniers écoliers enlevés en novembre dans une école catholique




Narcotrafic: le Maroc extrade un chef présumé de réseau, la coopération judiciaire avec la France se renforce


