Au nom de la réconciliation, de l’unité et de la paix sociale, le pardon est un acte salutaire au vu de la tragédie que le pays a traversée ces trois dernières années sous le régime de Macky Sall.
Cependant, pardonner ne voudrait pas dire oublier ou passer sous silence les actes délictuels et répréhensibles commis lors des événements passés. Avant de pardonner, il faut d’abord rendre justice.
Les Sénégalais ont besoin de savoir ce qui s’est réellement passé entre mars 2021 et juin 2023. La meilleure façon de rendre service à ce pays est de situer d’abord et avant tout les responsabilités. Ce n’est ni une justice des vainqueurs, ni une chasse aux sorcières, mais un devoir de vérité, de mémoire et de justice.
Le message derrière les nominations d’anciens partisans de Macky Sall
La communication, ce n’est pas seulement le discours, ce sont aussi les actes posés et leurs significations auprès des cibles.
Les plaies sont encore béantes, les traumatismes encore visibles, récompenser celles et ceux qui ont combattu le projet pourrait être perçu comme une trahison ou un manque de reconnaissance au vu des sacrifices consentis. Certes, il faudra compter sur toutes les compétences, mais celles qui ne croyaient ni en vous ni en votre projet et qui ont tout fait pour qu’il échoue ne vous apporteront que des ennuis.
Ainsi, il faudra toujours garder à l’esprit que ceux qui resteront, quoi qu’il arrive, quoi qu’il en coûte, méritent respect et considération. En effet, tous les collaborateurs du PR et PM devraient intégrer cet état de fait. Il faudra donc être vigilants, et surtout savoir qu’en politique rien est définitivement acquis. Le duo Diomaye- Sonko a la chance d’avoir des militants et sympathisants qui ont donné sang, argent et liberté sans rien demander en retour.
Par contre, dans la façon de gérer, il faudra leur montrer constamment que leurs sacrifices ne seront pas vains et qu’ils pourront toujours compter sur votre lucidité et sur votre clairvoyance.
Cependant, pardonner ne voudrait pas dire oublier ou passer sous silence les actes délictuels et répréhensibles commis lors des événements passés. Avant de pardonner, il faut d’abord rendre justice.
Les Sénégalais ont besoin de savoir ce qui s’est réellement passé entre mars 2021 et juin 2023. La meilleure façon de rendre service à ce pays est de situer d’abord et avant tout les responsabilités. Ce n’est ni une justice des vainqueurs, ni une chasse aux sorcières, mais un devoir de vérité, de mémoire et de justice.
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La communication, ce n’est pas seulement le discours, ce sont aussi les actes posés et leurs significations auprès des cibles.
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Ainsi, il faudra toujours garder à l’esprit que ceux qui resteront, quoi qu’il arrive, quoi qu’il en coûte, méritent respect et considération. En effet, tous les collaborateurs du PR et PM devraient intégrer cet état de fait. Il faudra donc être vigilants, et surtout savoir qu’en politique rien est définitivement acquis. Le duo Diomaye- Sonko a la chance d’avoir des militants et sympathisants qui ont donné sang, argent et liberté sans rien demander en retour.
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