Faire de la politique, cela n'avait jamais été envisagé par le patriote Ousmane Sonko, jusqu'aujourd'hui, où il trouve sans doute la ou l'une des révélations politiques de l'année. En plus d'être l'un des opposants très sérieux de Macky Sall à la présidentielle sénégalaise du 24 février, Sonko a confié à intelligences.info les raisons qui l'ont poussé à faire ce qu'il n'avait jamais imaginé: la politique.
"Vous savez, notre engagement politique peut être particulier. Personnellement, je n'ai jamais envisagé de faire de la politique. Je fais toujours partie des sénégalais qui considèrent que la politique n'est pas compatible avec certaines valeurs, à cause de l'image que la majorité des politiciens nous renvoient : la démagogie, le détournement de deniers publics, le piétinement de toutes les valeurs qui constituent notre éducation", explique Sonko.
Lui qui n'avait "jamais assisté à une réunion politique, à fortiori un meeting", a commencé avec le syndicalisme en 2003/2004. Un petit groupe au départ, ils ont eu l'adhésion massive des gens. Une fois que le syndicat a été mis en place, Ousmane Sonko affirme avoir été porté à sa tête et "sans l'avoir demandé".
De fil en aiguille, le syndicat s'est développé et a commencé à s'intéresser à des questions, qui d'habitude n'ont jamais été prises en charge. Son premier contact avec des acteurs politiques fut en 2008, lors du lancement des assises nationales. L'entrée dans la politique a débuté en 2013 lors que des amis sont venus le voir pour lui faire la proposition.
"On est allé en assemblée générale le 04 janvier 2014. Ils s'est trouvé qu'ils s'étaient entendus pour porter leur choix sur ma personne, pour être le président du parti. C'est comme ça qu'on est arrivé en politique et nous considérons que c'est notre destin. Et Dieu a fait que, en tout cas pour le moment, ça a pris une tournure assez positive", dira Sonko
"Vous savez, notre engagement politique peut être particulier. Personnellement, je n'ai jamais envisagé de faire de la politique. Je fais toujours partie des sénégalais qui considèrent que la politique n'est pas compatible avec certaines valeurs, à cause de l'image que la majorité des politiciens nous renvoient : la démagogie, le détournement de deniers publics, le piétinement de toutes les valeurs qui constituent notre éducation", explique Sonko.
Lui qui n'avait "jamais assisté à une réunion politique, à fortiori un meeting", a commencé avec le syndicalisme en 2003/2004. Un petit groupe au départ, ils ont eu l'adhésion massive des gens. Une fois que le syndicat a été mis en place, Ousmane Sonko affirme avoir été porté à sa tête et "sans l'avoir demandé".
De fil en aiguille, le syndicat s'est développé et a commencé à s'intéresser à des questions, qui d'habitude n'ont jamais été prises en charge. Son premier contact avec des acteurs politiques fut en 2008, lors du lancement des assises nationales. L'entrée dans la politique a débuté en 2013 lors que des amis sont venus le voir pour lui faire la proposition.
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