Le PSG n’a finalement pas tenu le rang que la planète football lui accorde désormais depuis plusieurs mois. Face à un adversaire à sa portée, le club de la capitale n’a jamais paru en mesure de faire la différence lors du match retour à Manchester City, après l’aller qui avait mis en lumière des carences défensives et offensives. Si bon et beau à voir à jouer durant la première partie de saison, le PSG a peu à peu décliné. Pour la Ligue 1, cela reste évidemment largement suffisant, mais en Ligue des Champions, la marge sur les adversaires est infime.
Cela n’a pas échappé à Zlatan Ibrahimovic, qui a livré un discours assez offensif après la rencontre. « Ce n’est pas le fait d’être prêt ou non. Nous avons l’équipe, elle est là. C’est le moment. Au début de saison, on entend oulala oulala mais quand le moment vient, c’est différent. Une saison, c’est long. Ce n’est pas seulement un ou deux mois. Il faut être au top durant 10 mois, pas 1 ou 2. Si on dit oulala au début, cela doit être oulala pendant 10 mois », a-t-il lancé. À qui s’adresse-t-il ? À ses coéquipiers, à son entraîneur, aux observateurs ? Surtout, s’inclut-il dans ce constat, lui qui a vendangé au match aller et qui a disparu de la circulation au match retour (hormis deux coups francs cadrés) ?
Zlatan reproche donc une forme trop fluctuante dans le jeu de son équipe, qui a abouti à cette désastreuse élimination. Malgré l’énorme gifle reçue, le Suédois n’en garde pas moins sa morgue habituelle. « Nous avons lâché les deux matches. Je pense que nous sommes meilleurs. Mais je souhaite le meilleur à City et une bonne chance pour la suite », a-t-il affirmé. Il pourra quand même avoir de sacrés regrets lorsqu’il regardera les Citizens évoluer au prochain tour. Et eux semblent prêts à faire « oulala » au meilleur moment possible…
Cela n’a pas échappé à Zlatan Ibrahimovic, qui a livré un discours assez offensif après la rencontre. « Ce n’est pas le fait d’être prêt ou non. Nous avons l’équipe, elle est là. C’est le moment. Au début de saison, on entend oulala oulala mais quand le moment vient, c’est différent. Une saison, c’est long. Ce n’est pas seulement un ou deux mois. Il faut être au top durant 10 mois, pas 1 ou 2. Si on dit oulala au début, cela doit être oulala pendant 10 mois », a-t-il lancé. À qui s’adresse-t-il ? À ses coéquipiers, à son entraîneur, aux observateurs ? Surtout, s’inclut-il dans ce constat, lui qui a vendangé au match aller et qui a disparu de la circulation au match retour (hormis deux coups francs cadrés) ?
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