Le Cadre Unitaire de l’Islam au Sénégal (CUDIS) constate avec un grand regret la violence verbale et physique qui a marqué le début de la campagne des élections législatives anticipées du 17 novembre 2024. Fidèle à sa vocation de préservation de la paix et du vivre ensemble, le CUDIS condamne cette violence presque consubstantielle au jeu politique sénégalais, selon un communiqué.
Il rappelle aux « acteurs politiques, aux militants et aux sympathisants leur devoir historique, après trois années de troubles politico-judiciaires, de faire preuve de sens élevé de la responsabilité dans le jeu démocratique, de bannir complètement les discours de haine et de rompre avec les violences notées depuis l’ouverture de la campagne électorale ».
D’après le CUDIS, cette « rupture est indispensable pour la préservation des fondements de la paix et du vivre ensemble au Sénégal ».
En effet, poursuit-t-il, « notre pays a été fondé en conjuguant la parenté, le métissage, la tolérance religieuse et ses fondateurs ont toujours fait de la non-violence leur principe et leur posture. La convivialité entre les composantes du peuple sénégalais constitue un trésor à fructifier, plus que l’or, le pétrole ou le gaz ».
D’ailleurs, le CUDIS rappelle aux « citoyens et électeurs qu’aimer son pays est un devoir religieux et les exhorte à se mobiliser massivement pour assurer une bonne représentation à l’Assemblée Nationale et la légitimité des futurs élus ».
Il suggère au-delà du « JUB, JUBAL, JUBANTI » qui constitue un crédo mobilisateur, le « JUBOO » pour arriver, à travers le « dialogue élargi, à un contrat social renouvelé autour des priorités nationales pour la paix et la stabilité de notre cher pays ».
Il rappelle aux « acteurs politiques, aux militants et aux sympathisants leur devoir historique, après trois années de troubles politico-judiciaires, de faire preuve de sens élevé de la responsabilité dans le jeu démocratique, de bannir complètement les discours de haine et de rompre avec les violences notées depuis l’ouverture de la campagne électorale ».
D’après le CUDIS, cette « rupture est indispensable pour la préservation des fondements de la paix et du vivre ensemble au Sénégal ».
En effet, poursuit-t-il, « notre pays a été fondé en conjuguant la parenté, le métissage, la tolérance religieuse et ses fondateurs ont toujours fait de la non-violence leur principe et leur posture. La convivialité entre les composantes du peuple sénégalais constitue un trésor à fructifier, plus que l’or, le pétrole ou le gaz ».
D’ailleurs, le CUDIS rappelle aux « citoyens et électeurs qu’aimer son pays est un devoir religieux et les exhorte à se mobiliser massivement pour assurer une bonne représentation à l’Assemblée Nationale et la légitimité des futurs élus ».
Il suggère au-delà du « JUB, JUBAL, JUBANTI » qui constitue un crédo mobilisateur, le « JUBOO » pour arriver, à travers le « dialogue élargi, à un contrat social renouvelé autour des priorités nationales pour la paix et la stabilité de notre cher pays ».
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