Faute d’avoir de l’eau, les populations dakaroises vont devoir s’abreuver de patience. La pénurie d’eau qui frappe la capitale sénégalaise depuis deux semaines n’est pas prête à connaître son épilogue demain. C’est du moins ce que laisse deviner les propos du directeur de la Société Ouest Africaine des Ciments (SOCOCIM) à laquelle la SDE fait appel pour ses réparations. En effet, si une partie des travaux entrepris dans les ateliers de Rufisque a été bouclée, l’autre partie est en cours de finalisation, a déclaré Youga Sow.
En marge de la rencontre de coopération et de partenariat d’affaires entre le CNP et le MEDEF International, le directeur de la SOCOCIM, interpellé par nos confrères du « Quotidien » a confirmé l’information selon laquelle les ateliers de l’usine de Rufisque ont été effectivement mis à contribution. « Il y a certains types de travaux de chaudronnerie qui ne peuvent être faits que dans le cadre d’ateliers et avec des professionnels. La SOCICIM a donc mobilisé ses équipes et ses techniciens », a laissé entendre M. Sow qui, sur la nature de ce soutien, précise qu’ « il y a eu deux actes et le premier a été terminé et le second est en phase de finalisation ».
Sur la nature de ces travaux confiés à la SOCOCIM, son patron explique qu’ « il s’agit de canalisations qui évacuent l’eau et pour pouvoir constituer des diamètres appropriés, il faut travailler des éléments métalliques pour qu’ils puissent être utilisés par les techniciens de la SDE. Nous avons été sollicités à ce titre-là, et nous avons mis nos ateliers à disposition ».
En marge de la rencontre de coopération et de partenariat d’affaires entre le CNP et le MEDEF International, le directeur de la SOCOCIM, interpellé par nos confrères du « Quotidien » a confirmé l’information selon laquelle les ateliers de l’usine de Rufisque ont été effectivement mis à contribution. « Il y a certains types de travaux de chaudronnerie qui ne peuvent être faits que dans le cadre d’ateliers et avec des professionnels. La SOCICIM a donc mobilisé ses équipes et ses techniciens », a laissé entendre M. Sow qui, sur la nature de ce soutien, précise qu’ « il y a eu deux actes et le premier a été terminé et le second est en phase de finalisation ».
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