Le Secrétaire Exécutif de la Commission Justice et Paix de la conférence épiscopale, et par ailleurs membres des 7 observateurs de la société civile qui ont assisté les sages du Conseil constitutionnel lors de la vérification des parrainages, revient sur la mission qui leur a été alouée.
Selon Abbé Alphonse Seck "Ce que nous avons observé durant ce travail, ce qui parait être bien mené. Ce qui est apparu comme limites, nous avons fait des recommandations dans ce sens", a-t-il souligné tout en précisant: «notre rôle en tant qu’observateur s’arrête là».
A l'en croire, ils (les 7 observateurs de la société civile, ndlr) ne peuvent pas se substituer au Conseil constitutionnel qui est le mettre d’œuvre de cette épreuve de la procédure.
«C’est à eux maintenant d’évaluer les éléments qui ont été faits et d’en tirer les conséquences», lance-t-il sur la Rfm.
Le Secrétaire Général de Caritas Sénégal informe, par aillleurs, que : « 1000 observateurs pour superviser l’élection présidentielle de février 2018 vont être mobilisés. Et, les dispositions sont en train d’être prises mais c'est à dire aussi que le travail de la Commsion est en même temps un travail d’éduction citoyenne et donc avant l’observation électorale elle-même, nous prenons les moyens pour pouvoir sensibiliser les populations au devoir citoyen de l’élection», explique-t-il.
Cette mission d’observation initiée par la commission Justice et Paix de la conférence épiscopale en rapport avec les Scoots du Sénégal, a pour objectif de veiller à la régularité du scrutin, si l’on en croît au Abbé Alphonse Seck.
Elle aura aussi pour objectif d'«aider les populations à comprendre les enjeux , les amener à discuter avec tous ceux qui sont impliqués dans l’élection de manière à faire adhérer le maximum de Sénégalais à cette démarche citoyenne avant d’aller à l’observation elle-même des élections».
Selon Abbé Alphonse Seck "Ce que nous avons observé durant ce travail, ce qui parait être bien mené. Ce qui est apparu comme limites, nous avons fait des recommandations dans ce sens", a-t-il souligné tout en précisant: «notre rôle en tant qu’observateur s’arrête là».
A l'en croire, ils (les 7 observateurs de la société civile, ndlr) ne peuvent pas se substituer au Conseil constitutionnel qui est le mettre d’œuvre de cette épreuve de la procédure.
«C’est à eux maintenant d’évaluer les éléments qui ont été faits et d’en tirer les conséquences», lance-t-il sur la Rfm.
Le Secrétaire Général de Caritas Sénégal informe, par aillleurs, que : « 1000 observateurs pour superviser l’élection présidentielle de février 2018 vont être mobilisés. Et, les dispositions sont en train d’être prises mais c'est à dire aussi que le travail de la Commsion est en même temps un travail d’éduction citoyenne et donc avant l’observation électorale elle-même, nous prenons les moyens pour pouvoir sensibiliser les populations au devoir citoyen de l’élection», explique-t-il.
Cette mission d’observation initiée par la commission Justice et Paix de la conférence épiscopale en rapport avec les Scoots du Sénégal, a pour objectif de veiller à la régularité du scrutin, si l’on en croît au Abbé Alphonse Seck.
Elle aura aussi pour objectif d'«aider les populations à comprendre les enjeux , les amener à discuter avec tous ceux qui sont impliqués dans l’élection de manière à faire adhérer le maximum de Sénégalais à cette démarche citoyenne avant d’aller à l’observation elle-même des élections».
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