Parmi ces chalutiers pirates figure le multirécidiviste notoire Oleg Naydenov, dont Greenpeace a récemment documenté les dernières activités illégales, en appelant à des sanctions justifiées et exemplaires, incluant la confiscation des captures et le retrait de sa douteuse « autorisation » de pêche2.
D’après nos informations, l’Oleg Naydenov, ainsi que 14 autres chalutiers étrangers, ont bel et bien été épinglés par la Commission des Infractions du Ministère de l’Economie Maritime. Cette commission, consultative, recommande ainsi une série de sanctions conformes au droit en vigueur, allant de l’amende simple (3 à 5 millions de FCFA) à l’amende aggravée pour récidive (jusqu’à 60 millions de FCFA), et dans les cas les plus graves, la saisie des captures et le retrait de l’interdiction de pêche (Oleg Naydenov et Zahar Sorokin).
Dans les faits, la plupart de ces chalutiers se sont rendus coupables, en récidive, de délits qualifiés de « très graves » par le Code de la Pêche Maritime, tels que la pêche en zone interdite (précisément parce que ces zones, proches de la côte et des sites de reproduction, doivent être préservées pour garantir la subsistance du pêcheur sénégalais et la reconstitution des stocks).
Comment se fait-il alors ces chalutiers pirates multirécidivistes aient pu repartir ces jours-ci, en toute impunité, et soient autorisés à poursuivre le pillage des stocks de Yaboye (sardinelles), au détriment des pêcheurs artisans sénégalais et du panier de la ménagère ?
(Déclaration Greenpeace)
D’après nos informations, l’Oleg Naydenov, ainsi que 14 autres chalutiers étrangers, ont bel et bien été épinglés par la Commission des Infractions du Ministère de l’Economie Maritime. Cette commission, consultative, recommande ainsi une série de sanctions conformes au droit en vigueur, allant de l’amende simple (3 à 5 millions de FCFA) à l’amende aggravée pour récidive (jusqu’à 60 millions de FCFA), et dans les cas les plus graves, la saisie des captures et le retrait de l’interdiction de pêche (Oleg Naydenov et Zahar Sorokin).
Dans les faits, la plupart de ces chalutiers se sont rendus coupables, en récidive, de délits qualifiés de « très graves » par le Code de la Pêche Maritime, tels que la pêche en zone interdite (précisément parce que ces zones, proches de la côte et des sites de reproduction, doivent être préservées pour garantir la subsistance du pêcheur sénégalais et la reconstitution des stocks).
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