L'affaire de la pouponnière "Keur Yermandé" qui est à l'origine de l'arrestation de Ndella Madior Diouf livre ses secrets. Les premiers résultats de l'enquête révèle "une traite de personne". En effet, la directrice de Sos Santé/Keur Yermandé auraient vendu des bébés à hauteur de 8 millions de FCfa.
"A l'analyse, il s'avère selon les policiers que Ndella Madior Diouf ciblait des femmes enceintes, en état de détresse ou vulnérable, qu'elle acheminait à la pouponnière. Ensuite, ces dernières accouchaient sur place avant d'abandonner leurs bébés auprès d'elle", informe Libération.
Par la suite, renseigne la même source, elle procédait au trafic de ces êtres en les offrant à d'autres personnes moyennant une compassion financière.
C'est dans ce cadre qu'une perquisition a été réalisée à la pouponnière. Sur place, il a été noté que tous les actes de décès des enfants étaient établis par sa structure de santé dénommée "Sos santé".
Ces médicaments médicaux étaient signés par Ndelle Madior Diouf qui s'y était prévalu de la qualité de médecin. Sur la base de ces certificats de décès qu'elle établissait, les officiers d'état civil lui délivraient des permis d'inhumer.
A l'état, le décompte actuel fait état de six décès d'enfants à la pouponnière depuis le mois d'octobre 2023.
Ndella Madior Diouf est visée pour "Association de malfaiteurs, maltraitance, mise en danger de nourrissons, exercice illégale de médecine, exploitation d'une pouponnière sans autorisation administrative et traite de personne".
Après son retour de parquet hier mardi, elle pourrait être édifiée sur son sort ce mercredi.
"A l'analyse, il s'avère selon les policiers que Ndella Madior Diouf ciblait des femmes enceintes, en état de détresse ou vulnérable, qu'elle acheminait à la pouponnière. Ensuite, ces dernières accouchaient sur place avant d'abandonner leurs bébés auprès d'elle", informe Libération.
Par la suite, renseigne la même source, elle procédait au trafic de ces êtres en les offrant à d'autres personnes moyennant une compassion financière.
C'est dans ce cadre qu'une perquisition a été réalisée à la pouponnière. Sur place, il a été noté que tous les actes de décès des enfants étaient établis par sa structure de santé dénommée "Sos santé".
Ces médicaments médicaux étaient signés par Ndelle Madior Diouf qui s'y était prévalu de la qualité de médecin. Sur la base de ces certificats de décès qu'elle établissait, les officiers d'état civil lui délivraient des permis d'inhumer.
A l'état, le décompte actuel fait état de six décès d'enfants à la pouponnière depuis le mois d'octobre 2023.
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