Ce document de 272 pages est réalisé par les étudiants du Centre d’études des sciences et techniques de l’information (Cesti). Il est intitulé « à la croisée des chemins » et porte sur l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar.
Après le panel qui s’est focalisé sur les maux de l’UCAD, l’ancien recteur de cette Université, Abdou Salam a soutenu que « je suis bien placé pour dire non. Les gouvernants de notre pays ne connaissent pas ce que c’est que l’Université. Il faudrait qu’on se demande, comment la société perçoit l’Université ? Comment les gouvernants perçoivent leur Université ? », s’interroge le Pr Abdou Salam Sall.
Plus loin, il ajoute qu’ « il n’y a qu’une seule Université dans la République du Sénégal et c’est l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar ». La question des « Thèses d’Etat » n’est pas restée en marge de cette journée de lancement des « Cahiers de l’Alternance ». « On a bougé trop tard et personne ne veut plus s’inscrire en Thèse d’Etat » témoigne Pr Sall avant de s’interroger à nouveau, « est ce que vous pensez qu’on peut former un docteur universitaire à seulement 10 mille FCfa. Ce sont des questions qu’il faut se poser ».
« L’Université, qu’est ce que c’est ? C’est un jeune qui a son baccalauréat et après 5 ans d’études supérieures, il est capable de transformer ou d’innover. Du côté du corps professoral, on a des collègues qui peuvent enseigner dans tous les coins du monde », soutient l’ancien recteur de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar.
Le document de 272 pages, « Les Cahiers de l’Alternance », a été réalisé par le Centre d’Etudes des sciences et techniques de l’information (Cesti) en partenariat avec la Fondation Konrad Adenauer.
Après le panel qui s’est focalisé sur les maux de l’UCAD, l’ancien recteur de cette Université, Abdou Salam a soutenu que « je suis bien placé pour dire non. Les gouvernants de notre pays ne connaissent pas ce que c’est que l’Université. Il faudrait qu’on se demande, comment la société perçoit l’Université ? Comment les gouvernants perçoivent leur Université ? », s’interroge le Pr Abdou Salam Sall.
Plus loin, il ajoute qu’ « il n’y a qu’une seule Université dans la République du Sénégal et c’est l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar ». La question des « Thèses d’Etat » n’est pas restée en marge de cette journée de lancement des « Cahiers de l’Alternance ». « On a bougé trop tard et personne ne veut plus s’inscrire en Thèse d’Etat » témoigne Pr Sall avant de s’interroger à nouveau, « est ce que vous pensez qu’on peut former un docteur universitaire à seulement 10 mille FCfa. Ce sont des questions qu’il faut se poser ».
« L’Université, qu’est ce que c’est ? C’est un jeune qui a son baccalauréat et après 5 ans d’études supérieures, il est capable de transformer ou d’innover. Du côté du corps professoral, on a des collègues qui peuvent enseigner dans tous les coins du monde », soutient l’ancien recteur de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar.
Le document de 272 pages, « Les Cahiers de l’Alternance », a été réalisé par le Centre d’Etudes des sciences et techniques de l’information (Cesti) en partenariat avec la Fondation Konrad Adenauer.
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