En choisissant de rallier IBK, Dramane Dembélé crée la polémique au sein de l'Adéma. DR
« En ce qui nous concerne, nous resterons dignes dans la victoire comme dans la défaite. » Le président par intérim de l’Adéma, Ibrahima Ndiaye, attaque son ancien poulain Dramane Dembélé sans faire dans la nuance.
Le candidat de l’Adéma, arrivé troisième au premier tour, a décidé de rallier IBK, malgré les engagements pris par son parti au sein du FDR, une coalition anti-putsch née après le coup d’État de mars 2012, et devenue, au cours de la période électorale, un front anti IBK.
« En Afrique, la parole est sacrée », déclare Ibrahima Ndiaye. Pas question donc pour l’Adéma de soutenir un autre candidat que celui du FDR qui reste présent au second tour : Soumaïla Cissé. « Nul ne nous fera dévier de ce chemin pour ses intérêts personnels », conclut le président de l’Adéma.
Mais Dramane Dembélé reste ferme. « Ma position personnelle est conforme à l’avis de la base, des partisans et des sympathisants du parti », se défend-il. L’ex-candidat de l’Adéma estime qu’il lui revient d’appeler à voter pour qui il veut. « J’ai choisi IBK pour la stabilité politique du Mali, explique-t-il encore, je ne suis pas dans les combines politiques. »
Source : Rfi.fr
Le candidat de l’Adéma, arrivé troisième au premier tour, a décidé de rallier IBK, malgré les engagements pris par son parti au sein du FDR, une coalition anti-putsch née après le coup d’État de mars 2012, et devenue, au cours de la période électorale, un front anti IBK.
« En Afrique, la parole est sacrée », déclare Ibrahima Ndiaye. Pas question donc pour l’Adéma de soutenir un autre candidat que celui du FDR qui reste présent au second tour : Soumaïla Cissé. « Nul ne nous fera dévier de ce chemin pour ses intérêts personnels », conclut le président de l’Adéma.
Mais Dramane Dembélé reste ferme. « Ma position personnelle est conforme à l’avis de la base, des partisans et des sympathisants du parti », se défend-il. L’ex-candidat de l’Adéma estime qu’il lui revient d’appeler à voter pour qui il veut. « J’ai choisi IBK pour la stabilité politique du Mali, explique-t-il encore, je ne suis pas dans les combines politiques. »
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