Quand une assemblée se donne en spectacle dans la plus grande humiliation de juges de grande envergure.
Mais ceux-là n'ont qu'à s'en prendre à eux-mêmes tant ils ont couvert bien des besognes peu honorables.
Pour les beaux yeux d'un prince exilé depuis des lustres dans un paradis de la Mer rouge.
Où coulent dollars et dinars.
Dans les ors des palais où l'on fait bombance et ripaille.
Entre copains et coquins.
Celui-là on ne l'a jamais entendu quand le pays brûle.
Quand des enfants innocents sont abattus froidement dans le dos.
Quand de preux chevaliers sont jetés dans les geôles.
Quand des mères pleurent leurs enfants engloutis dans le ventre de l'océan.
Ou perdus dans les sables chauds des déserts du monde.
Le Prince de Qatar se moque du Sénégal.
Il est tellement plein aux as que tant de courtisans chantent ses louanges.
C'est vrai que le Père l'a si bien gâté.
Comme il en a gâté bien d'autres.
Sa fabrique de milliardaires a fonctionné en plein régime.
C'est tellement facile d'être généreux avec l'argent des autres !
Le prince de Qatar est si vorace qu'il veut brûler le pays
Si toutefois ses appétits ne sont pas assouvis.
Et le peuple attend.
Dans la peur de lendemains incertains
A quelques encablures d'une élection majeure
Où se joue son destin.
Le pétrole jaillit déjà par millions de barils.
L'or du Ngalam remplit les coffres de Zurich.
Le gaz enivre les gueux
Et le diamant luit aux doigts de princesses du Nord.
Pendant ce temps, les misérables gueux cherchent la queue du diable pour la tirer.
Des vaillantes femmes accouchent dans la nuit noire
Sans soin
Sans eau
Sans un sou.
Le Prince de Qatar s'en fout du peuple.
Il a tant de larbins tout autour
Qui piaffent d'impatience
De goûter aux délices de l'abondance.
Et le peuple se tait.
Il fulmine de temps en temps.
Il râle souvent.
Loin des oreilles du Prince.
Prince de Qatar, ne brûle pas mon pays.
Prenez tout dans vos banques de Londres
Engraissez vous de la sueur du peuple.
Mais de grâce foutez la paix.
C'est notre plus grande richesse.
Mais ceux-là n'ont qu'à s'en prendre à eux-mêmes tant ils ont couvert bien des besognes peu honorables.
Pour les beaux yeux d'un prince exilé depuis des lustres dans un paradis de la Mer rouge.
Où coulent dollars et dinars.
Dans les ors des palais où l'on fait bombance et ripaille.
Entre copains et coquins.
Celui-là on ne l'a jamais entendu quand le pays brûle.
Quand des enfants innocents sont abattus froidement dans le dos.
Quand de preux chevaliers sont jetés dans les geôles.
Quand des mères pleurent leurs enfants engloutis dans le ventre de l'océan.
Ou perdus dans les sables chauds des déserts du monde.
Le Prince de Qatar se moque du Sénégal.
Il est tellement plein aux as que tant de courtisans chantent ses louanges.
C'est vrai que le Père l'a si bien gâté.
Comme il en a gâté bien d'autres.
Sa fabrique de milliardaires a fonctionné en plein régime.
C'est tellement facile d'être généreux avec l'argent des autres !
Le prince de Qatar est si vorace qu'il veut brûler le pays
Si toutefois ses appétits ne sont pas assouvis.
Et le peuple attend.
Dans la peur de lendemains incertains
A quelques encablures d'une élection majeure
Où se joue son destin.
Le pétrole jaillit déjà par millions de barils.
L'or du Ngalam remplit les coffres de Zurich.
Le gaz enivre les gueux
Et le diamant luit aux doigts de princesses du Nord.
Pendant ce temps, les misérables gueux cherchent la queue du diable pour la tirer.
Des vaillantes femmes accouchent dans la nuit noire
Sans soin
Sans eau
Sans un sou.
Le Prince de Qatar s'en fout du peuple.
Il a tant de larbins tout autour
Qui piaffent d'impatience
De goûter aux délices de l'abondance.
Et le peuple se tait.
Il fulmine de temps en temps.
Il râle souvent.
Loin des oreilles du Prince.
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Prenez tout dans vos banques de Londres
Engraissez vous de la sueur du peuple.
Mais de grâce foutez la paix.
C'est notre plus grande richesse.
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