La confirmation est venue de trois sources militaires, entre autres un général sur le terrain, et le porte-parole de l’armée congolaise. Les deux collines verdoyantes, Chanzu et Runyonyi, dernières places fortes du M23, ont été reprises par les Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) ce mardi 5 novembre, un peu avant l’aube, vers 3 h (TU). D’après le porte-parole de l’armée, Olivier Hamouli, qui s'est confié à RFI, un commando spécial serait parvenu à brûler un dépôt de munitions à Chanzu, cette nuit.
Les derniers rebelles - une centaine d’éléments - auraient alors choisi de prendre la fuite, « faute de munitions », nous dit le porte-parole de l’armée. Les uns ont fui vers le Rwanda, les autres vers l’Ouganda.
Mais une autre source militaire bien informée affirme que le M23 aurait, en fait, choisi de prendre la fuite avant l’assaut final de l’armée congolaise et de tout brûler avant de partir, dont le dépôt de munitions et une quarantaine de voitures.
Le M23 reconnaît sa défaite
Seule certitude, ce mardi matin, tout est calme. Vers 5 h 30, six tirs à l’arme lourde ont résonné dans les collines. Depuis, plus rien. Le général de l’armée congolaise serait à l’heure actuelle sur place, pour constater la victoire des FARDC. Une victoire obtenue de haute lutte, après 12 jours d’une offensive marquée par des combats intenses.
Quelques heures après l'annonce du porte-parole du gouvernement congolais, le M23 a annoncé qu'il mettait un terme à sa rébellion. La direction du M23 « annonce qu'elle a décidé à dater de ce jour de mettre un terme à sa rébellion et de poursuivre, par des moyens purement politiques, la recherche des solutions aux causes profondes qui ont présidé à sa création », indique le communiqué des rebelles.
Les derniers rebelles - une centaine d’éléments - auraient alors choisi de prendre la fuite, « faute de munitions », nous dit le porte-parole de l’armée. Les uns ont fui vers le Rwanda, les autres vers l’Ouganda.
Mais une autre source militaire bien informée affirme que le M23 aurait, en fait, choisi de prendre la fuite avant l’assaut final de l’armée congolaise et de tout brûler avant de partir, dont le dépôt de munitions et une quarantaine de voitures.
Le M23 reconnaît sa défaite
Seule certitude, ce mardi matin, tout est calme. Vers 5 h 30, six tirs à l’arme lourde ont résonné dans les collines. Depuis, plus rien. Le général de l’armée congolaise serait à l’heure actuelle sur place, pour constater la victoire des FARDC. Une victoire obtenue de haute lutte, après 12 jours d’une offensive marquée par des combats intenses.
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