François Beya, conseiller spécial du chef de l’État en matière de sécurité, aura passé sa deuxième nuit dans les locaux de l’Agence national des renseignements. Autorisé à lui rendre visite, Georges Kapiamba, président de l’Association congolaise d’accès à la justice, affirme que l’intéressé ne connait pas encore les motifs de son interpellation. Une commission d’enquête doit l’entendre aujourd’hui. Et, selon les proches du conseiller spécial, ce dernier est malade ; il a été interpellé alors qu’il observait un repos médical recommandé par son médecin.
La toile s’est enflammée. Selon les réseaux sociaux, l’interpellation de Beya serait due à une tentative de coup d’État avec la participation de gradés de l’armée mais aucun fait ne vient étayer ces dires. Et les médias publics n’en n’ont pas encore parlé.
Et pas de signes visibles du renforcement des mesures sécuritaires dans la capitale où la circulation était normale dimanche. Malgré le manque d’information, des militants de l’UDPS ont manifesté sur le boulevard Lumumba, à Limete, pour dire non à toute tentative de déstabilisation du pouvoir.
La toile s’est enflammée. Selon les réseaux sociaux, l’interpellation de Beya serait due à une tentative de coup d’État avec la participation de gradés de l’armée mais aucun fait ne vient étayer ces dires. Et les médias publics n’en n’ont pas encore parlé.
Et pas de signes visibles du renforcement des mesures sécuritaires dans la capitale où la circulation était normale dimanche. Malgré le manque d’information, des militants de l’UDPS ont manifesté sur le boulevard Lumumba, à Limete, pour dire non à toute tentative de déstabilisation du pouvoir.
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