Des départs massifs ont été notés ces derniers jours à la Radio Télévision Fulbe, une radio qui émet depuis Dakar et destinée à tous les fulbés du Sénégal et de la diaspora. Au total, quinze (15) journalistes ont démissionné de leur poste, à la date du 3 février 2020. A l’origine, « des décisions inacceptables et surtout dites « irrévocables » ont été prises par le Directeur générale de la boîte, Abdoulaye Aly Diallo.
Réunis autour d’un collectif qui a été mis en place le 31 janvier dernier, ces journalistes dénoncent les décisions « inacceptables » de leur Dg. « Le jeudi 30 janvier la rédactrice en chef nous a présentés un nouveau calendrier élaboré par le DG lui-même dans lequel la grande et principale édition de 13H est confiée à un animateur qui ne sait rien des règles journalistiques, alors que les titulaires de diplômes supérieurs sont disponibles », a déclaré le collectif dans une note tramise à PressAfrik.
Amadou Barro Bâ, coordonnateur d’ajouter : « Le calendrier ne tient pas non plus compte ni des spécialités des journalistes, ni des heures de cours de certains éléments encore à l’école. A préciser qu’aucun travailleur de cette boite n’a de contrat de travail ni aucun autre privilège bien que beaucoup y exercent depuis plus de 3 ans et que certains y ont même occupé des postes de responsabilité ».
Le vendredi 31 janvier 2020, le collectif a rédigé une note adressée au directeur général dans laquelle les journalistes ont mentionné les points qui, selon eux, sont à revoir dans son nouveau calendrier. « A sa réception de la note, le directeur général a rencontré le collectif le samedi 1er Février 2020 pour leur informer que son nouveau calendrier restera intacte et inchangeable, que ceux qui sont pour, l’appliquent et que la porte du sortie est largement ouverte au reste », a-t-il déploré.
Non sans dénoncer le comportement du nouvel animateur du JP de 13 heures qui, selon Ba, était « vêtu en tenu de combat pour faire verser le sang ». « Lors de cette réunion l’animateur à qui le JP de 13H a été confié, accompagnant le DG et « vêtu en tenu de combat pour faire verser le sang » selon ses propres termes s’est permis de proférer des insultes à l’ensemble du collectif qui a eu la maturité de ne pas répliquer à un échange malsain »,a-t-il conclu.
Réunis autour d’un collectif qui a été mis en place le 31 janvier dernier, ces journalistes dénoncent les décisions « inacceptables » de leur Dg. « Le jeudi 30 janvier la rédactrice en chef nous a présentés un nouveau calendrier élaboré par le DG lui-même dans lequel la grande et principale édition de 13H est confiée à un animateur qui ne sait rien des règles journalistiques, alors que les titulaires de diplômes supérieurs sont disponibles », a déclaré le collectif dans une note tramise à PressAfrik.
Amadou Barro Bâ, coordonnateur d’ajouter : « Le calendrier ne tient pas non plus compte ni des spécialités des journalistes, ni des heures de cours de certains éléments encore à l’école. A préciser qu’aucun travailleur de cette boite n’a de contrat de travail ni aucun autre privilège bien que beaucoup y exercent depuis plus de 3 ans et que certains y ont même occupé des postes de responsabilité ».
Le vendredi 31 janvier 2020, le collectif a rédigé une note adressée au directeur général dans laquelle les journalistes ont mentionné les points qui, selon eux, sont à revoir dans son nouveau calendrier. « A sa réception de la note, le directeur général a rencontré le collectif le samedi 1er Février 2020 pour leur informer que son nouveau calendrier restera intacte et inchangeable, que ceux qui sont pour, l’appliquent et que la porte du sortie est largement ouverte au reste », a-t-il déploré.
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