Boubacar Dianko a été arrêté en 2013 alors qu'il revenait du Mali, en compagnie de son neveu, Ahmadou Bamba Dianko. L'accusé était poursuivi pour atteinte à la sûreté de l'État en relation avec une entreprise terroriste et association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste, a été acquitté au bénéfice du doute. Le parquet avait requis les travaux forcés à perpétuité.
Rappelé devant la barre après que le parquet a fait appel, l'Imam Dianko n'a pas changé de version. Selon lui, il n’a pas fait ce qu’on lui reproche. Revenant sur sa relation avec le terroriste mauritanien, Hamada Ould Mohamed Heirou, il nie savoir que ce dernier avait des problèmes avec la justice de son pays pour des histoires de terrorisme.
Pour l'avocat général, l'accusé était conscient des activités terroristes de Hamada Ould Mohamed Heirou. Il donne comme preuve, « la connexion ininterrompue entre les deux hommes depuis 2003 jusqu'à l'implantation du Mujao dans le nord du Mali ». Par conséquent, le Parquet général s’est accordé à l’idée que la liberté retrouvée de l'accusé n'est pas méritée. Par ailleurs, s'il ne tenait qu'au représentant du ministère public, l'Imam Dianko écoperait de 20 ans de travaux forcés.
La défense a tenté de démonter les arguments du parquet général. L’avocat de Boubacar Dianko, Me Fall trouve que le voyage de son client « n'en fait pour autant pas un homme dangereux ». Il a plaidé la confirmation du verdict prononcé en première instance, c'est à dire l'acquittement. Selon le journal « Les Echos », l'imam Dianko qui est reparti libre sera édifié sur son sort le 26 avril prochain.
Rappelé devant la barre après que le parquet a fait appel, l'Imam Dianko n'a pas changé de version. Selon lui, il n’a pas fait ce qu’on lui reproche. Revenant sur sa relation avec le terroriste mauritanien, Hamada Ould Mohamed Heirou, il nie savoir que ce dernier avait des problèmes avec la justice de son pays pour des histoires de terrorisme.
Pour l'avocat général, l'accusé était conscient des activités terroristes de Hamada Ould Mohamed Heirou. Il donne comme preuve, « la connexion ininterrompue entre les deux hommes depuis 2003 jusqu'à l'implantation du Mujao dans le nord du Mali ». Par conséquent, le Parquet général s’est accordé à l’idée que la liberté retrouvée de l'accusé n'est pas méritée. Par ailleurs, s'il ne tenait qu'au représentant du ministère public, l'Imam Dianko écoperait de 20 ans de travaux forcés.
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