«Les éditeurs et les professionnels des médias audiovisuels doivent avoir un sens élevé des principes et valeurs qui fondent notre République». Cette remontrance émane du Conseil national de régulation de l’audiovisuel qui a publié son rapport trimestriel le 14 janvier dernier.
Cet organe dirigé par Babacar Touré épingle ainsi les contenus de certains programmes diffusés dans les médias et qui ne respectent pas, selon lui, les lois et règlements en vigueur au Sénégal. C’est dans ce sens qu’il vient leur rappeler que «La diffusion des contenus audiovisuels obéit à un cadre défini par les lois et règlements en vigueur et les cahiers de charges».
Le rapport trimestriel épingle entre autres «le non-respect des Institutions de la République (Président de la République, Assemblée nationale, …), de la vie privée, de l’honneur et de l’intégrité de la personne humaine ; la diffusion d’appels à la désobéissance civile et à la violence, d’appels à la violence sur les antennes ; la diffusion d’images mettant en scène des enfants de bas âge et encourageant les contre-valeurs, celle d'images choquantes et indécentes à la télévision, montrant une dépouille mortelle portant une étiquette d’identification».
Le document est assorti d’un certain nombre de recommandations. En effet, le Cnra demande au professionnels des médias «d’éviter de médiatiser et de rediffuser des propos portant atteinte à la crédibilité des Institutions, à la vie privée et à l’honneur des citoyens ; faire preuve de plus de vigilance et de rigueur dans le traitement de certaines informations pouvant heurter la sensibilité des auditeurs et des téléspectateurs en veillant particulièrement sur la protection des enfants… »
Babacar Touré et Cie rappellent aux responsables des médias que : «La liberté de la presse et celle d’opinion ne confèrent pas le droit de diffuser des propos ou images attentatoires à la morale publique ou celui de servir de relais à des individus dont le discours ou le comportement promeut la remise en cause des valeurs républicaines et sociétales».
Cet organe dirigé par Babacar Touré épingle ainsi les contenus de certains programmes diffusés dans les médias et qui ne respectent pas, selon lui, les lois et règlements en vigueur au Sénégal. C’est dans ce sens qu’il vient leur rappeler que «La diffusion des contenus audiovisuels obéit à un cadre défini par les lois et règlements en vigueur et les cahiers de charges».
Le rapport trimestriel épingle entre autres «le non-respect des Institutions de la République (Président de la République, Assemblée nationale, …), de la vie privée, de l’honneur et de l’intégrité de la personne humaine ; la diffusion d’appels à la désobéissance civile et à la violence, d’appels à la violence sur les antennes ; la diffusion d’images mettant en scène des enfants de bas âge et encourageant les contre-valeurs, celle d'images choquantes et indécentes à la télévision, montrant une dépouille mortelle portant une étiquette d’identification».
Le document est assorti d’un certain nombre de recommandations. En effet, le Cnra demande au professionnels des médias «d’éviter de médiatiser et de rediffuser des propos portant atteinte à la crédibilité des Institutions, à la vie privée et à l’honneur des citoyens ; faire preuve de plus de vigilance et de rigueur dans le traitement de certaines informations pouvant heurter la sensibilité des auditeurs et des téléspectateurs en veillant particulièrement sur la protection des enfants… »
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