L’Action pour les Droits Humains et l’Amitié (ADHA) exprime sa profonde indignation face à la recrudescence des violences policières présumées, de plus en plus fréquentes sur le territoire national.
Dans un communiqué signé par son président Adama Mbengue, l’organisation se dite consternée par le décès tragique de Mor Seck, jeune réparateur de téléphones du marché de Thiaroye, survenu le 11 juin à l’hôpital de Pikine à la suite d’une interpellation musclée de la police.
ADHA cite également le décès de Talla Keïta, adolescent de 18 ans, ce dimanche, des suites de blessures qu’il aurait subies après une présumée torture lors de son arrestation le 18 juin. À cela s’ajoute l’interpellation brutale de plusieurs manifestants à Cambérène, à la suite de la disparition signalée de deux jeunes.
Face à cette situation préoccupante, ADHA condamne fermement ces « actes odieux et exprime ses « vives inquiétudes quant à la consolidation de l’État de droit dans notre pays ».
Action pour les Droits Humains et l’Amitié s’interroge également sur le respect effectif des droits fondamentaux des personnes privées de liberté, en référence notamment au Code de déontologie de la police nationale et de la gendarmerie nationale (2014).
En conséquence, ADHA interpelle solennellement le procureur de la République afin « qu’il se saisisse d’office de ces trois affaires, et que toute la lumière soit faite ». Pour l’organisation, les « responsabilités doivent être clairement situées » et des « sanctions exemplaires appliquées, dans le respect strict des lois de la République ».
Pour conclure, l’organisation exige des « mesures concrètes, urgentes et durables » pour mettre fin à cette « impunité persistante ».
« Aucune injustice ne doit rester sans réponse, et toute personne impliquée, directement ou indirectement, doit répondre de ses actes devant la justice, conformément à la loi », martèle ADHA.
Dans un communiqué signé par son président Adama Mbengue, l’organisation se dite consternée par le décès tragique de Mor Seck, jeune réparateur de téléphones du marché de Thiaroye, survenu le 11 juin à l’hôpital de Pikine à la suite d’une interpellation musclée de la police.
ADHA cite également le décès de Talla Keïta, adolescent de 18 ans, ce dimanche, des suites de blessures qu’il aurait subies après une présumée torture lors de son arrestation le 18 juin. À cela s’ajoute l’interpellation brutale de plusieurs manifestants à Cambérène, à la suite de la disparition signalée de deux jeunes.
Face à cette situation préoccupante, ADHA condamne fermement ces « actes odieux et exprime ses « vives inquiétudes quant à la consolidation de l’État de droit dans notre pays ».
Action pour les Droits Humains et l’Amitié s’interroge également sur le respect effectif des droits fondamentaux des personnes privées de liberté, en référence notamment au Code de déontologie de la police nationale et de la gendarmerie nationale (2014).
En conséquence, ADHA interpelle solennellement le procureur de la République afin « qu’il se saisisse d’office de ces trois affaires, et que toute la lumière soit faite ». Pour l’organisation, les « responsabilités doivent être clairement situées » et des « sanctions exemplaires appliquées, dans le respect strict des lois de la République ».
Pour conclure, l’organisation exige des « mesures concrètes, urgentes et durables » pour mettre fin à cette « impunité persistante ».
« Aucune injustice ne doit rester sans réponse, et toute personne impliquée, directement ou indirectement, doit répondre de ses actes devant la justice, conformément à la loi », martèle ADHA.
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