«Même si le Chef de l’Etat, sur recommandation des services techniques chargés de l’organisation matérielle et surtout, après avis du ministère de l’Economie et des Finances, prévu et fixé pour courant 2016 la tenue du référendum sur la durée de son mandat, ses alliés veulent être définitivement édifiés sur la question». Ces propos, relayés par l’Observateur découlent d’une source de nos confrères très au fait de ce dossier.
Selon lui, cet état de fait provient de l’impatience des lieutenants de certains des plus gros alliés du chef de l’Etat qui veulent savoir quelle posture adopter. Ces alliés escomptent, à travers ce débat avec le président de la République, disposer «d’arguments à opposer à leurs responsables et autres militants de leurs formations politiques, prises individuellement, qui seraient tentés de faire ressurgir le débat de la candidature au sein de leur parti» déclare la source, qui est d’avis que : «de la réponse du chef de l’Etat qui sera donnée à leur principale interrogation, dépendra la conduite ultérieure à tenir devant leurs mandataires et assemblée de militants».
Ce jeu de clair-obscur auquel s’adonne le Président Sall n’est pas du goût de ses alliés qui ont compris que «le Président Sall cherche à les endormir le plus longtemps possible pour freiner leur ardeur militante et leur engouement dans une période assez proche qui pourrait être valablement celle de la précampagne électorale, si la Présidentielle devait se tenir en 2017. Pendant ce temps, Macky Sall déroule tranquillement son programme pour sa réélection, s’étant déclarant lui-même candidat à sa propre succession depuis belle lurette».
Mais du côté de M. Sall les arguments ne manquent pas : «Bien au contraire, au-delà des arguments techniques dont dispose le Président Sall, il a un calepin bien fourni de raisons juridiques d’abord, mais aussi politico-sociales à mettre sur la table de ses amis», a-t-elle révélé.
Selon lui, cet état de fait provient de l’impatience des lieutenants de certains des plus gros alliés du chef de l’Etat qui veulent savoir quelle posture adopter. Ces alliés escomptent, à travers ce débat avec le président de la République, disposer «d’arguments à opposer à leurs responsables et autres militants de leurs formations politiques, prises individuellement, qui seraient tentés de faire ressurgir le débat de la candidature au sein de leur parti» déclare la source, qui est d’avis que : «de la réponse du chef de l’Etat qui sera donnée à leur principale interrogation, dépendra la conduite ultérieure à tenir devant leurs mandataires et assemblée de militants».
Ce jeu de clair-obscur auquel s’adonne le Président Sall n’est pas du goût de ses alliés qui ont compris que «le Président Sall cherche à les endormir le plus longtemps possible pour freiner leur ardeur militante et leur engouement dans une période assez proche qui pourrait être valablement celle de la précampagne électorale, si la Présidentielle devait se tenir en 2017. Pendant ce temps, Macky Sall déroule tranquillement son programme pour sa réélection, s’étant déclarant lui-même candidat à sa propre succession depuis belle lurette».
Mais du côté de M. Sall les arguments ne manquent pas : «Bien au contraire, au-delà des arguments techniques dont dispose le Président Sall, il a un calepin bien fourni de raisons juridiques d’abord, mais aussi politico-sociales à mettre sur la table de ses amis», a-t-elle révélé.
Autres articles
-
Ministère des Infrastructures : 700 milliards FCFA mobilisés pour 2026, avec 90 % pour les projets d’investissement
-
Le Président sénégalais assiste à l’investiture d’Alassane Ouattara à Abidjan
-
Diplomatie : Le Sénégal et la Belgique discutent de l’efficience de leur programme de coopération 2024-2029
-
Kolda : l’APR mobilise ses troupes en perspective des prochaines échéances
-
Journée des Martyrs : "Sonko a désormais désigné Diomaye Faye comme nouvelle cible" (Thierno Alassane Sall)




Ministère des Infrastructures : 700 milliards FCFA mobilisés pour 2026, avec 90 % pour les projets d’investissement


