Le Conseil constitutionnel a déclaré anticonstitutionnelle la loi interprétative de la loi d’amnistie adoptée par l’Assemblée nationale le 2 avril. Cette décision invalide de facto toute tentative d’extension de l’amnistie initiale, notamment sur les faits liés aux violences politiques survenues entre mars 2021 et février 2024.
Cette décision, au retentissement aussi bien juridique que politique, n’a pas tardé à susciter de nombreuses réactions. Parmi les premières voix à se faire entendre, Amadou Ba, député du parti Pastef et auteur de la loi interprétative invalidée. Dans une déclaration publiée sur Facebook, il écrit : « Fin de l'impunité pour les crimes de meurtres, assassinats et tortures. Merci au Conseil constitutionnel. »
Cette décision, au retentissement aussi bien juridique que politique, n’a pas tardé à susciter de nombreuses réactions. Parmi les premières voix à se faire entendre, Amadou Ba, député du parti Pastef et auteur de la loi interprétative invalidée. Dans une déclaration publiée sur Facebook, il écrit : « Fin de l'impunité pour les crimes de meurtres, assassinats et tortures. Merci au Conseil constitutionnel. »
Autres articles
-
68e session de la CEDEAO : le Sénégal obtient la Présidence de la Commission de l'Organisation de 2026 à 2030
-
Situation du Sénégal : « Ousmane Sonko est aussi bien responsable que le Président Diomaye », selon Ahmeth Diallo, leader « Gox yu Bess »
-
La France et le Sénégal veulent un « partenariat rénové », selon l’ambassadrice Christine Fages
-
Décret renforçant la Primature : " Diomaye et Sonko veulent contrôler tout le pouvoir" (Ahmeth Diallo)
-
Cédéao : stabilité politique et sécurité au cœur du sommet ouest-africain




68e session de la CEDEAO : le Sénégal obtient la Présidence de la Commission de l'Organisation de 2026 à 2030


