Ousmane Sonko a d’emblée insisté sur l’importance pour un État de vivre selon ses capacités et non au-dessus de ses moyens. "Un État ne peut pas et ne doit pas vivre au-dessus de ses moyens. Il doit vivre conformément à ses capacités", a-t-il affirmé. Ce principe, selon lui, sera le fondement de la gouvernance sous sa direction. Il a également promis une gouvernance entièrement transparente, en déclarant : "Sous notre gouvernance, l’État ne vous cachera absolument rien. Tout sera mis sur la table."
Le Premier ministre a ajouté que la gestion des finances publiques ne pourrait se faire dans l’urgence et sous pression. Le chef du gouvernement a appelé à un sursaut national pour mettre en avant l’intérêt supérieur de la Nation. "Rien de durable ne peut se faire sous la pression et les urgences", a-t-il souligné.
Ousmane Sonko a également abordé les relations avec les syndicats, soulignant la nécessité de bien préparer cette rencontre tripartite. "Il y a eu des rencontres sectorielles entre les syndicats et des ministères. Seulement, il fallait bien prendre le temps de préparer cette grande rencontre", a-t-il déclaré. Il a rassuré les syndicats, affirmant que le gouvernement est prêt à communiquer et à travailler en collaboration avec les centrales syndicales pour répondre aux préoccupations sociales. "Nous allons travailler à réduire le coût de la vie", a-t-il ajouté.
Le Premier ministre a par ailleurs révélé des anomalies dans la fonction publique, évoquant des cas où certains employés sont rémunérés sans même se rendre au travail. "Certains employés sont payés alors qu’ils ne viennent même pas travailler", a-t-il affirmé. Il a également précisé que la masse salariale représente actuellement 39 % des recettes de l’État, un taux jugé trop élevé. "Il faut évaluer la masse salariale pour voir les emplois qui correspondent aux besoins réels", a-t-il souligné, insistant sur la nécessité de rationaliser cette dépense publique.
En ce qui concerne les agences publiques, Sonko a dénoncé le manque d’efficacité de certaines d’entre elles. Il les a qualifiés de "structures créées pour caser une clientèle politique" sans générer de projets concrets.
Le Premier ministre a ajouté que la gestion des finances publiques ne pourrait se faire dans l’urgence et sous pression. Le chef du gouvernement a appelé à un sursaut national pour mettre en avant l’intérêt supérieur de la Nation. "Rien de durable ne peut se faire sous la pression et les urgences", a-t-il souligné.
Ousmane Sonko a également abordé les relations avec les syndicats, soulignant la nécessité de bien préparer cette rencontre tripartite. "Il y a eu des rencontres sectorielles entre les syndicats et des ministères. Seulement, il fallait bien prendre le temps de préparer cette grande rencontre", a-t-il déclaré. Il a rassuré les syndicats, affirmant que le gouvernement est prêt à communiquer et à travailler en collaboration avec les centrales syndicales pour répondre aux préoccupations sociales. "Nous allons travailler à réduire le coût de la vie", a-t-il ajouté.
Le Premier ministre a par ailleurs révélé des anomalies dans la fonction publique, évoquant des cas où certains employés sont rémunérés sans même se rendre au travail. "Certains employés sont payés alors qu’ils ne viennent même pas travailler", a-t-il affirmé. Il a également précisé que la masse salariale représente actuellement 39 % des recettes de l’État, un taux jugé trop élevé. "Il faut évaluer la masse salariale pour voir les emplois qui correspondent aux besoins réels", a-t-il souligné, insistant sur la nécessité de rationaliser cette dépense publique.
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