Le Congrès de la Renaissance démocratique (Crd) s’est opposé à la décision du report des élections locales de décembre prochain, prise à l’unité par la commission politique du dialogue nationale, rejoignant ainsi le parti de Abdoulaye Wade. Ils exigent le respect du calendrier.
« Le Congrès de la renaissance démocratique vient de prendre connaissance d’une idée largement partagée sur les réseaux sociaux relatifs à un report des élections municipales et départementales prévues en décembre 2019 après un premier report unilatéral accepté, un deuxième report, et rien ne s’opposera plus en principe au report des élections législatives du 2022 et même à la Présidentielle de 2024 », peut-on lire dans un communiqué parvenu à PressAfrik.
La conférence des leaders « rejette catégoriquement une telle proposition et exige la tenue des élections municipales et départementales à la date du 1er décembre 2019 ».
Ces membres ajoutent: « Déjà par le parrainage et par la caution, il écartera tous les candidats gênant par une nouvelle réforme portant élection des maires au suffrage universel. Il établira, lui seul, la liste des têtes de liste. Au scrutin majoritaire et dans tout le pays, ils deviendront maire. De la sorte, les populations auront l’impression d’avoir élu leur propre maire alors qu’il n’en sera rien ».
Le Parti démocratique sénégalais (PDS) de l'ancien président, Abdoulaye Wade, n’est donc pas le seul à contester le consensus qui s’est dégagé hier mardi, 16 juillet, à l’issue de la réunion de la commission politique du dialogue national.
« Le Congrès de la renaissance démocratique vient de prendre connaissance d’une idée largement partagée sur les réseaux sociaux relatifs à un report des élections municipales et départementales prévues en décembre 2019 après un premier report unilatéral accepté, un deuxième report, et rien ne s’opposera plus en principe au report des élections législatives du 2022 et même à la Présidentielle de 2024 », peut-on lire dans un communiqué parvenu à PressAfrik.
La conférence des leaders « rejette catégoriquement une telle proposition et exige la tenue des élections municipales et départementales à la date du 1er décembre 2019 ».
Ces membres ajoutent: « Déjà par le parrainage et par la caution, il écartera tous les candidats gênant par une nouvelle réforme portant élection des maires au suffrage universel. Il établira, lui seul, la liste des têtes de liste. Au scrutin majoritaire et dans tout le pays, ils deviendront maire. De la sorte, les populations auront l’impression d’avoir élu leur propre maire alors qu’il n’en sera rien ».
Le Parti démocratique sénégalais (PDS) de l'ancien président, Abdoulaye Wade, n’est donc pas le seul à contester le consensus qui s’est dégagé hier mardi, 16 juillet, à l’issue de la réunion de la commission politique du dialogue national.
Autres articles
-
Permis de pêche, monnaie locale : ces projets du Président Bassirou Diomaye Faye vus par un économiste
-
« Amadou Ba doit créer un mouvement et s’imposer comme chef de l’opposition» (Analystes politiques)
-
Le clin d'œil des Etats-Unis à Bassirou Diomaye Faye: "nous sommes prêts à travailler avec vous"
-
Célébration du 4 avril: le format encore changé
-
Les éléments du GIGN assurent désormais la sécurité de Ousmane Sonko, ses bodygards remerciés