Le Pastef de Sedhiou exige toujours la transparence et invite le chef de l’Etat à un débat contradictoire relatif aux ressources pétrolières et gazières, avec son leader Ousmane Sonko.
« Avec tout ce qui est en train de se passer au Sénégal, il n’y pas de raison de bazarder ce que nous avons de plus cher. Je voix dans les réseaux sociaux beaucoup qui veulent en débattre avec Sonko. Qui est ce qui empêche Macky Sall d’en débattre avec Sonko. Je crois que par là, tout le monde saura où se trouve la vérité », soutient Sadibou Djiba le coordonnateur départemental de Pastef.
Mieux tonne M. Djiba : « Je crois qu’aujourd’hui soit il vient débattre, ou il se tait. Dire qu’il n’y a pas de monopole dans un domaine précis. Le pétrole est un long processus. Allant de l’exploration jusqu’à l’exploitation, ce sont plusieurs étapes qui sont décrier. Non pas seulement par Sonko, mais par un homme à qui on doit faire confiance, Thierno Alassane Sall qui était ministre à l’époque de l’énergie et qui fait le même cri que Sonko ».
Selon lui, « pas que ça, les gens doivent prendre compte de cela. Autre chose, quelque part, il a avoué que nos ressources minières sont dilapidées. Quand il va en Europe pour dire que l’Afrique, se sont des maladies, se sont des violences. Et que part par conséquence, tous les investisseurs qui viennent en Afrique on doit tout offrir à ces investisseurs-là ».
« Avec tout ce qui est en train de se passer au Sénégal, il n’y pas de raison de bazarder ce que nous avons de plus cher. Je voix dans les réseaux sociaux beaucoup qui veulent en débattre avec Sonko. Qui est ce qui empêche Macky Sall d’en débattre avec Sonko. Je crois que par là, tout le monde saura où se trouve la vérité », soutient Sadibou Djiba le coordonnateur départemental de Pastef.
Mieux tonne M. Djiba : « Je crois qu’aujourd’hui soit il vient débattre, ou il se tait. Dire qu’il n’y a pas de monopole dans un domaine précis. Le pétrole est un long processus. Allant de l’exploration jusqu’à l’exploitation, ce sont plusieurs étapes qui sont décrier. Non pas seulement par Sonko, mais par un homme à qui on doit faire confiance, Thierno Alassane Sall qui était ministre à l’époque de l’énergie et qui fait le même cri que Sonko ».
Selon lui, « pas que ça, les gens doivent prendre compte de cela. Autre chose, quelque part, il a avoué que nos ressources minières sont dilapidées. Quand il va en Europe pour dire que l’Afrique, se sont des maladies, se sont des violences. Et que part par conséquence, tous les investisseurs qui viennent en Afrique on doit tout offrir à ces investisseurs-là ».
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