Le fait nouveau dans la communication de la riposte contre le Covid-19, c’est l’irruption des médias sociaux qui, après le point du jour du ministère de la Santé, donnent d’autres informations parallèles. C’est l’avis de l’expert en communication humanitaire, Ada Pouye, qui invite l’Etat « à voir comment utiliser ces médias sociaux comme des vecteurs positifs ».
« Au jour d’aujourd’hui, c’est en fonction des acquis culturels et au niveau d’éducation qu’on doit essayer de tailler une riposte adéquate », a déclaré M. Pouye.
Mais, l’expert en communication humanitaire de souligner que le fait nouveau dans cette crise, c’est l’irruption des médias sociaux, qui compatissent même avec la version officielle qui est celle du ministère de la Santé et de l’Action sociale.
« Si le ministère donne des informations, automatiquement vous voyez d’autres informations qui apparaissent dans les médias sociaux. Ça, ce sont les phénomènes nouveaux sur lesquels il faut essayer de bâtir. C’est-à-dire de voir comment utiliser les médias sociaux comme des vecteurs positifs. Ce n’est pas l’approche de la répression », a-t-il lancé.
L’invité de l’émission Objection de ce dimanche 03 mai 2020, rappelle qu’actuellement, le Sénégal « est dans une phase où le changement de comportement social et la communication constituent des éléments essentiels pour éviter de verser dans la politisation de la riposte ».
Selon lui, « nous assistons aujourd’hui, à une forme de théâtralisation de la riposte et une guerre des rumeurs à qui mieux mieux ». Il continue en expliquant : « Personne n’est assez préparé pour faire face à cette crise. Mais quand je parle de théâtralisation, c’est la manière dont on gère la communication, le briefing journalier. Tout le monde attend quel est le nombre de cas communautaires ».
Pour M. Pouye, la riposte doit s’appuyer sur les évidences pour avoir des plans cohérents, des réponses en s’appuyant sur des données fiables pour une meilleure planification de la riposte.
« Au jour d’aujourd’hui, c’est en fonction des acquis culturels et au niveau d’éducation qu’on doit essayer de tailler une riposte adéquate », a déclaré M. Pouye.
Mais, l’expert en communication humanitaire de souligner que le fait nouveau dans cette crise, c’est l’irruption des médias sociaux, qui compatissent même avec la version officielle qui est celle du ministère de la Santé et de l’Action sociale.
« Si le ministère donne des informations, automatiquement vous voyez d’autres informations qui apparaissent dans les médias sociaux. Ça, ce sont les phénomènes nouveaux sur lesquels il faut essayer de bâtir. C’est-à-dire de voir comment utiliser les médias sociaux comme des vecteurs positifs. Ce n’est pas l’approche de la répression », a-t-il lancé.
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