Connectez-vous S'inscrire
PRESSAFRIK.COM , L'info dans toute sa diversité (Liberté - Professionnalisme - Crédibilité)

Rwanda: l'affaire des missiles français Mistral relance le débat sur l'attentat contre Habyarimana

Le journal Libération a publié ce 1er juin des éléments d'un rapport de l'ONU qui indiquerait la présence de missiles français, interdits à la vente, sur le territoire rwandais en 1994 au moment de l'attentat contre l'avion du président Habyarimana. Depuis, toutes les enquêtes se sont concentrées sur le lieu du tir des missiles et pour la première fois, c'est le type d'armes qui pourrait faire débat.



Le juge Trevidic, juge d'instruction au pôle antiterroriste et chargé du dossier de l'attentat contre l'avion du président rwandais Habyarimana en 1994, le 5 janvier 2010. France Inter
Le juge Trevidic, juge d'instruction au pôle antiterroriste et chargé du dossier de l'attentat contre l'avion du président rwandais Habyarimana en 1994, le 5 janvier 2010. France Inter
Depuis l'attentat, toutes les investigations suivent la même piste : l'utilisation de missile soviétiques de type SAM16, missile sol-air, très répandu dans la région.

Le document de dix pages à en tête de l'ONU, qui n'est pas authentifié, indique la présence sur le territoire rwandais de 15 missiles français, des mistrals.

Pour Maitre Léon Lef-Forster, avocat des inculpés du FPR proche de Kagamé, ce document entraine une série de questions : « C’est un document tout à fait passionnant, dit-il. Quel est le circuit réel du passage de ces armes ? A qui ont-elles été confiées ? Où se trouvaient-elles entreposées et si elles ne font pas partie des missiles, qui a pu participer à l’attentat contre le président Habyarimana? ».

A l'opposé, l'avocat de la veuve du président assassiné, Bernard Maingain, estime que ce document ne met pas en cause la thèse du rapport du juge Trévidic. Pour lui, ce sont des missiles soviétiques qui ont été utilisés pour commettre l'attentat. « Ce scoop, déclare-t-il, c’est une communication qui vient tenter de jeter un doute sur la conclusion qui est toujours apparue essentielle dans le rapport d’expertise, à savoir le type de missile utilisé SAM 16, qui est la signature criminelle du FPR ».

Si elle est était établie, la présence de ces missiles français au Rwanda ne veut pas dire qu'ils ont été utilisés pour commettre l'attentat. Le juge Trévidic doit donc impérativement confirmer ou non l'authenticité du document publié avant de décider s'il lance de nouvelles investigations.

L’ONU EMBARRASSÉE PAR LE DOCUMENT
Avec notre correspondant à New-York, Karim Lebhour


Ce document daté de 1994 est embarrassant pour l’ONU. L’authenticité ne fait guère de doutes mais l’ONU se refuse à la confirmer, s’abritant derrière la procédure judiciaire en cours sur le sol français dans l’attentat contre le président Habyarimana.

Si la vente de ces missiles aux forces rwandaises est illégale au regard du droit français, en revanche rien dans la loi internationale ne l’interdisait. L’embargo sur les armes à destination du Rwanda n’a été mise en place qu’en mai 1994, un mois après le début du génocide. L’ONU n’avait donc pas de raisons de s’alarmer.

En revanche, le fait que les forces rwandaises possédaient des missiles français est une information nouvelle dans l’attaque contre l’avion d’Habyarimana, or cette information n’apparaît apparemment pas dans les rapports de l’ONU sur cet attentat. Au mieux, l’ONU se serait rendue coupable de négligences.
Source: RFI


Samedi 2 Juin 2012 - 11:07


div id="taboola-below-article-thumbnails">


1.Posté par AGACULAMA MU IKIBUNDA le 03/06/2012 02:43
La présentation de ce document de l'ONU est une forfaiture supplémentaire à ajouter à l'incroyable entreprise criminelle organisée de mensonge coordonnée par le régime dictatorial de Paul Kagame qui sévit sur le Rwanda depuis 22 années, soit depuis octobre 1990. Ainsi donc, on découvre "a posteriori" qu'un document aurait été signé le 6 avril 1994 par un prétendu officier du nom de Sean Moorhouse, appartenant à la cellule anglo-saxonne de renseignement de la MINUAR, aux ordres du général canadien d'opérette francophone et anglophile. La cellule de renseignement de Kibat, le secteur belge de la MINUAR aux ordres du Colonel parachutiste Luc Marchal et basé à Kigali, n'était au courant de rien. Le général Roméo Dallaire n'en parle absolument pas dans son livre d'amnésique du Nouvel Ordre Mondial: "J'ai serré la main du Diable" (First Carroll & Graf, 2004, 562 pp). L'historien canadien Jacques Castonguay, ancien directeur du Collège Royal Militaire Canadien de Saint Jean, ne s'en souvient pas lors de ses interviews de Roméo Dallaire: 29 juillet 1996 (Ottawa), Il n'en parle absolument pas dans son livre de synthèse de l'action onusienne au Rwanda: "Les Casques bleus au Rwanda" (L'Harmattan, 1998, 275 pp). Plusieurs années plus tard Sean Moorhouse travaillait en Afghanistan comme « Mine-Action Supervisor » pour « Swiss Federation for Mine Action ». Histoire de poser son pied léger dans un autre terrain miné que le Rwanda. En vérité, je vous l'affirme, cette histoire de Mistral français livrés aux FAR n'est que mensonge et eau de boudin à la sauce du FPR. Agaculama, Analyste Stratégique des Grands Lacs Africains.

2.Posté par maingain bernard le 03/06/2012 11:18
Ce message pour vous signaler que je ne suis pas l'avocat de la veuve de Monsieur Habyarimana mais des personnalités mises en examen dont l'innocence parait chaque jour plus évidente. Je n'ai prononcé aucun des propos que cet article m'attribue. Bien à vous. Bernard Maingain

3.Posté par Ingoboka Rwitete le 04/06/2012 14:47
Libération, un quotidien français classé à gauche qui s'est donné pour mission d'écrire l'histoire du Rwanda selon les vœux de l'Empire (1) sous le contrôle duquel la nation rwandaise est soumise maintenant, vient de faire des révélations fracassantes : on aurait découvert (tout à fait) par hasard, que des dizaines de missiles d'origine française ont appartnue à l'armement des ex-FAR (Forces Armées Rwandaises) du régime feu le président Juvénal Habyalimana.

C'est à mourir de rire ! Ou à pleurer de tristesse ! Cela fait des années qu'il est formellement établi que le FPR-INKOTANYI a tué le président Juvénal Habyalimana, dans une opération terroriste à l'encontre de son avion qui le transportait. Aucun témoignage, aucune preuve ne peut faire plus autorité que les témoignages tous concordants des repentis du FPR lui-même. Sans parler des experts autorisés, que Libération prend soins de ne pas interroger. Contrairement aux témoignages qui accablent le FPR-INKORANYI, tous les témoignages pro-FPR sont plus que suspects de par les pressions, les menaces, les tortures ou les liens idéologiques et d'allégeance qui ont joué et continuent de jouer un rôle important dans leurs fables qualifiés de témoignages. Il est utile de rappeler que les repentis du FPR-Inkotanyi, sont les seuls à avoir témoigné spontanément, à la seule sollicitation de leur conscience, sans être soumis ni à la torture, ni aux menaces, ni aux pressions. Bien au contraire, ils savaient s'y exposer et exposer leurs familles et amis en faisant ainsi. Beaucoup en ont payé le prix du sang. Le FPR-INKOTANYI lui-même, a pendant longtemps argué que l'avion du président Juvénal Habyalimana était une cible militaire comme les autres. Quant aux experts, ce sont des gens qui n'ont autre liens avec le Rwanda que ceux du fait que ce pays est l'objet de leurs recherches et études.

Malgré tous les témoignages concordants à l'encontre de cette organisation terroriste qu’est le FPR-INKOTANYI. y compris ses propres aveux à peine voilés, cela fait des années que ce journal et les autres médias au service de l'Empire essayent, dans une oeuvre de pure propagande et de manipulations incroyables, de nous démontrer le contraire sans succès : que l'ancien président Juvénal Habayalimana à été tué par les siens. Il fut un temps où le mot magique des gardiens du "génocide des Tutsi du Rwanda" était sa "planification" par Juvénal Habyalimana lui-même, qualifié de Hitler tropical. Sauf que, nul n'arriva à expliquer comment ce planificateur du génocide de son peuple est arrivé à la conclusion que pour que son œuvre réussît, il fallait qu'il meure d'abord dans le crash de son avion à la suite d'un acte "apparemment" terroriste perpétré de connivence par ces propres militaires ! Une mise en scène à la fois extraordinaire et machiavélique d’un président décidé à mettre en œuvre la solution finale contre son peuple ! Une ingénierie criminelle de haute voltige ! La thèse a été abandonnée et le TPIR (Tribunal Pénal International pour le Rwanda) l'a écarté depuis peu car impossible à démontrer et à soutenir et surtout absurde, ridicule et affabulatoire.

Libération se comporte comme un organe de propagande officielle du gouvernement rwandais. Dès que ce journal tombe sur quelques fables qui impliqueraient le régime "hutu" du président Juvénal Habyalimana dans sa propre mort, il jubile. Ses journalistes qui se conduisent comme des mercenaires, incompétents et ignorants de l'histoire du Rwanda ne sont même pas capables de voir le grotesque d'intoxications qu'ils répandent dans l'opinion.

Dans son scoop, Libération précise qu'il n'est toutefois pas démontré que les dits missiles français aient été utilisés. Si ces journalistes reconnaissent que l'information qu'ils donnent n'a aucune importance, puisqu'il n'est pas démontré ni certifié que ces missiles ont été utilisés, pourquoi la diffuser? De quelle école ces journalistes sont-ils sortis ? Qui sont les professeurs qui les ont formés? Depuis quand un journal qui se veut respectable diffuse une information non vérifiée, ni confirmée ? Libération est un journal de rumeurs, intoxication, propagande, calomnie, diffamation et médisance, etc.

En présence d'une information d'une telle importance, ce que l'on entend d'un journal comme Libération, c'est de la discuter. La passer au crible du doute, de l'examen et de l'analyse rigoureux. Bien au contraire, l'on se rend compte que Libération, impériale dans ses affirmations, semble triomphale dans l'annonce de la vérité qu'elle connaît déjà, qu'elle a toujours connue, à savoir que le FPR-INKOTANYI n'y est pour rien dans le malheur des rwandais, ce sont les affreux diables Hutu qui sont responsables. A la suite de Libération, d'autres médias français comme RFI et France Culture la suivent, la répètent comme des perroquets après leurs maîtres.

Des missiles français dans l'arsenal de l'armée rwandaise à la veille du génocide?! C'est-à-dire, la présence des missiles constatée la veille même ou dans les quelques jours qui précédent le génocide rwandais! Jusqu'à ce jour des "révélations" fracassantes de Libération, c'est bizarre que personne n'ait jamais fait le lien entre l'abattage de l'avion présidentiel et ces missiles. Pourtant le souvenir de la présence de ces armes devait encore être frais. L’auteur du rapport devait y penser forcément et pouvait le signaler aux enquêteurs, chercheurs, journalistes et autres personnes ou institutions intéressées.

Mais l'on nous apprend que le dossier était égaré dans les piles d'autres dossiers... Faut-il en rire ou en pleurer? Les journalistes de Libération maîtrisent-ils vraiment les sujets qu'ils traitent? S'ils se donnaient la peine de faire leur travail vraiment, ils auraient appris que bien avant leur trouvaille, il y a eu d'autres foules de documents "secrets", "découverts" sous d'autres piles de rapports sur le Rwanda à l'ONU, toujours dans la tentative désespérée d'implique Juvénal Habyalimana dans son propre assassinat, qui se sont révélés des faux grossiers. Alors, pourquoi Libération serait-elle persuadée de détenir, cette fois-ci, la vérité ? A ce que je sache, les mêmes réseaux manipulateurs n'ont pas encore été touchés par la grâce.

En 1994 l'ONU a créé le TPIR pour juger les responsables du génocide rwandais. À priori, puisque c'est l'ONU qui juge ces criminels, tous les dossiers, tous les rapports ayant trait au génocide rwandais et même à l'histoire de notre pays sont à la disposition du TPIR et, naturellement, son personnel enquêteur. Parmi les suspects à juger il y figure les ministres, les officiers de hauts rangs et toute une flopée de responsables plus ou moins proches du régime qu'ils ont servi. Les ministres et les militaires de hauts rangs sont, entre autres choses, accusés de planification (même si cette charge a fini par être abandonné récemment) du génocide. Il est léger d'imputer à tout un gouvernement et à son armée des actes de génocide sans établir la preuve matérielle, la plus solide, la moins indiscutable de leurs actes! Et pas la moindre, dans la mesure où il s'agit quand même de montrer les outils et les moyens utilisés pour exterminer une partie de la population rwandaises. Il est surprenant de voir un tribunal international entreprendre de juger une armée présumée "génocidaire" sans inventorier ni mettre dans les pièces à conviction, tout l'armement à sa disposition au moment des faits. La pièce des missiles n’a jamais été versée dans aucun dossier d’aucun suspect au TPIR. Alors, de deux choses l’une : soit le TPIR est incompétents et tous jugements nuls puisque visiblement rendu sur des preuves fictives, soit cette histoire de missiles est un faux grossiers comme il en a déjà existé.

Libération et les réseaux qui l'actionnent mentent tellement qu'ils ne se rendent même plus compte des énormités de leur propagande. Ils pensent qu'ils peuvent lancer comme ça...des absurdités et les faire avaler aussi simplement qu’une gorgée d’eau fraiche. Le mensonge ne passera plus. Je ne suis pas spécialiste: mais je ne peux pas ne pas penser qu'un armement de missile nécessite un dispositif et une infrastructure plus ou moins importants, sophistiqués, spéciaux et adéquats : et bien ! On 'en a aucune trace! En tout cas ni Libération ni ses informateurs n’en parlent. Je suppose qu’un missile ne se conserve pas, ne se porte pas ni ne s’utilise comme une simple lance pierre ! Si Libération avait recouru aux lumières des spécialistes, nous aurions été fixés sur ce point. Mais Libération et ses maîtres n’aiment visiblement pas la lumière et la clarté. Soyons patients, peut-être les éléments qui manquent aujourd’hui pour achever d’échafauder cette fable, feront-t-ils l'objet d'une autre prochaine "révélation". En attendant, l’on ne peut s’empêcher de se demander où sont-ils passés ces missiles, s'ils n'ont pas été utilisés sur le sol rwandais. Emportés par les "Hutu génocidaires" dans les forêts congolaises? Libération n’en dit pas mot cette fois-ci. Elle a raison, la ficelle de ses révélations est déjà trop grosse.

En réalité, les "révélations" de Libération n'ont qu'un seul but: la manipulation. Semer la confusion. Installer dans les esprits le doute nuisible. La manipulation ne vise pas en informer, à révéler une quelconque vérité. Sans infirmer ni confirmer le sujet traité, la manipulation vise à détourner l'attention des gens sur le non-sens et l’absurde, où ils vont se perdre dans des querelles et des bruits sans fins, pendant que le manipulateur continue son "business". Il est assez remarquable qu'en France, les médias dits de droite et ceux dits de gauche, se sont partagés les rôles dans le traitement du problème rwandais : aux médias de droite de défendre "l'honneur de la France", de rappeler la responsabilité des "Tutsi" et aux médias de gauche (sauf Marianne) d'enfoncer la France et ses alliés Hutu ». La perversité manipulatoire de l’Empire est telle les médias de droite se trouvent être les fervents défenseurs du régime MRND du gauchisant feu le président Juvénal Habyalimana, pendant les médias de gauche taillent des lauriers au régime ultra-capitaliste sauvage du président Paul Kagame et son FPR-INKOTANYI.

Il serait impossible de comprendre les positions des journalistes et médias français si l'on ne comprend pas ni ne sait de qui ils reçoivent les ordres, c’est-à-dire leurs propriétaires. Car les médias et les journalistes français qui se disent libres et indépendants sont - comme dans notre dictature rwando-africaine de Kagame - soumis à des puissances auxquelles ils doivent obéissance et soumission aveugles. De même que l’on ne puisse pas s’imaginer un ouvrier d’usine fabriquer autre choses que ce que lui demande son patron, les médias ne diffusent que les informations conformes aux intérêts de leurs propriétaires. Les puissances auxquelles sont soumis les médias sont l'Empire: l'empire des finances et des armes de destructions massives. Il n'est un secret pour personne que tous les médias comme toute la finance et l'industrie d'armement sont dominés par une même et unique caste qui contrôle tout et ordonne tout. De sorte que les médias, dans des cas précis et sensibles comme celui de notre pays, les pseudo-révélations sorties par tel ou tel autre média relèvent d'un concert bien orchestré pour distraire les esprits oiseux et naïfs.

Les vrais patriotes rwandais ne doivent pas se laisser distraire ni prêter attention à ces pseudo-révélations. Elles sont destinées à enfumer l'opinion française et à la manipulation des dirigeants français. Le président Paul Kagame, comme nul rwandais ne l'ignore, est l'agent, le serviteur et l'esclave de l'Empire. Lorsqu'à travers de ses propres médias, l'Empire inculpe et disculpe le président Kagame selon les aléas de la politique française ou internationale, il vise toujours le même but: obtenir que le président Kagame puisse choisir ses propres interlocuteurs (suggérés par l'Empire et ayant ses faveurs) au gré des changements politiques en France. En fait de « révélations » de Libération, nous avons ici une opération de chantage contre les nouveaux dirigeants français pour que le président Kagame obtienne ce qu’il désire. Car l'Empire s'assure en permanence que ses fidèles serviteurs ne souffrent d'aucune inquiétude, jusqu'où jour où les vents forts vont tourner et tout balayer.

Les vrais patriotes rwandais savent que l'histoire de notre nation s'écrit au Rwanda, par les rwandais et non pas à l'étrangers par les mercenaires, spécialistes des manipulations des esprits.

Nous avons perdu d'innombrables êtres chers : parents, familles, amis, collèges, connaissances, voisins. Nous savons exactement qui et dans quelles conditions nous a plongés dans le deuil perpétuel. Peu nous importe de savoir qu'il est twa, hutu ou tutsi, mais nous sommes certains que c'est un criminel. Il faut considérer ces "révélations" comme des commentaires inutiles des gens qui se moquent de notre souffrance et cherchent perpétuellement à nous opposer les uns les autres, tout en protégeant et louangeant nos bourreaux. Ce n’est pas fortuitement que les réseaux des manipulateurs lancent ces rumeurs. Ils savent que l’effet est immédiat sur les rwandais. La preuve est que lorsqu’elles sont livrées au public, selon qu’elles les avantagent ou les lèsent, les rwandais retranchés dans leurs camps respectifs tombent en extase jubilatoires ou dans la frustration révoltante. C’est l’effet recherché, ne vous en étonnez pas. L’entretien du feu infernal du soupçon et de la haine réciproques garantit au système une certaine longévité. Les vrais patriotes rwandais ne doivent donc pas accorder la moindre importance à ces rumeurs.

Le génocide rwandais est le fruit amer de l'arbre de la guerre entre le FPR-INKOTANYI et le régime MRND du feu le président Juvénal Habyalimana. Deux protagonistes dont on connaît très bien le corps et l'esprit, identifiables par toutes les victimes rwandaises. Que les vrais patriotes ne se perdent donc pas dans les distractions offertes par Libération, mais continuent sans casse d'interroger le FPR-INKOTANYI les représentants de l'ancien régime MRND de Juvénal Habyalimana ce qu'ils ont fait des nôtres et de notre pays. Les vrais patriotes rwandais doivent œuvrer sans cesse dans le but de se donner les moyens et forces nécessaires de juger un jour tous les criminels rwandais et étrangers qui ont trahi la NATION ET LE PEUPLE RWANDAIS.

Il faut laisser les manipulateurs se donner quelques raisons de prospérer encore une saison, ce n’est que l’instant des ibitabapfu : vous savez…les dernières délires des âmes agonisantes ! Le système manipulatoire va mourir, c’est une certitude. C’est écrit dans le gène du mensonge qu’il doit s’autodétruire tout seul. Ne voyez-vous pas qu’il s’enfonce tout seul à chaque fois qu’il croit sauver encore quelque chose. C’est qu’il est programmé ainsi, le système manipulatoire.

Concentrons-nous aux criminels qui nous ont jetés dans l’opprobre et le désastre face au reste du genre humain.

(1) L’Empire est l’oligarchie internationale et mondialiste qui contrôle les piliers du pouvoir moderne à savoir : les banques (la finance), l’industrie de l’armement et les grands médias nationaux et internationaux. C’est l’Empire qui ordonne tout contrôle tout

4.Posté par Lancien le 04/06/2012 19:03
Ce document est connu depuis de nombreuses années . Il parle non seulement de missiles Mistral mais également de SA 7 dont je me demande bien pourquoi ils sont occultès aujourd'hui.
Mais surtout, analysé par le TPIR, il a été écarté car jugé peu fiable.

On assiste aujourd'hui à une lamentable tentative de diversion au moment où les avocats des parties civiles réclament une contre expertise après avoir démontrer que l'expertise de janvier 2012, présentée à grand renfort de presse et à grand battage médiatique comme déterminante par les même LEv FOSTER et MAINGUAIN, est en fait, un vaste tissu d'inexactitudes.

Nouveau commentaire :
Facebook Twitter