« Je trouve très déplorable dans notre pays que l'assassinat des opposants devienne monnaie courante. Il est le deuxième de mon parti à être assassiné en deux ans [...] Ca me choque parce que dans d'autres pays, si quelqu'un est tué, surtout s'il est membre de l'opposition, tous les pays demandent des explications au gouvernement. Mais au Rwanda, on tue des gens, le gouvernement lui-même ne dit rien, les autres pays ne disent rien, donc on dirait que le Rwanda est un pays à part et que personne ne doit dire quoi que ce soit. »
Autres articles
-
Emmanuel Macron reconnaît «le rôle et la responsabilité de la France» dans la «guerre» au Cameroun durant la période coloniale
-
Bande de Gaza: «On attend que la communauté internationale dise stop au massacre»
-
La Communauté de développement de l’Afrique australe veut dépendre «davantage de ses propres ressources»
-
L’intelligence artificielle en Afrique, entre avancées et difficultés
-
Burkina Faso : prison à vie pour 13 personnes impliquées dans des «actes de terrorisme», dont les attaques de 2018 contre l'ambassade de France