Un drame est survenu à Saint-Louis du Sénégal dans le nord. Une fillette revenant de l’école coranique a perdu la vie en chutant du pont ferroviaire Leybar, situé dans la commune de Gandon, à quelques kilomètres de l’ancienne capitale. L'accident tragique a ravivé les inquiétudes des riverains face à l’état dégradé de cet ouvrage emprunté quotidiennement, souvent par des enfants.
Selon les informations recueillies par PressAfrik, l’enfant jouait avec ses camarades lorsqu’elle a glissé et est tombée. Elle n’a pas survécu à sa chute. Le pont Leybar, autrefois réservé au passage du train, est depuis longtemps désaffecté, mais continue d’être utilisé de manière informelle, notamment par les enfants écoliers.
Ce drame remet à jour la question de la sécurité des infrastructures abandonnées. Gas El Salvador, activiste bien connu à Saint-Louis, a tiré la sonnette d’alarme. « Beaucoup d’enfants viennent sur ce pont pour y jouer. Ce n’est pas un endroit pour jouer, c’est très dangereux. Même les grandes personnes ont peur en le traversant. Nous demandons aux parents d’empêcher les enfants d’y accéder. »
Le pont Leybar, avec ses quatre arcs surplombant le marigot, est un vestige de l’époque coloniale. Il reliait autrefois les zones périphériques à la ville de Saint-Louis. Mais depuis l’arrêt du trafic ferroviaire, il est à l’abandon. Ce lieu, pourtant périlleux, reste quotidiennement emprunté, faute d’alternative, notamment par des enfants pour se rendre à l’école.
Les habitants appellent à une réaction urgente des autorités pour sécuriser, fermer ou réhabiliter le pont. Pour eux, « cette mort ne doit pas être une fatalité de plus dans un contexte où l’inaction pourrait en provoquer d’autres. »
Selon les informations recueillies par PressAfrik, l’enfant jouait avec ses camarades lorsqu’elle a glissé et est tombée. Elle n’a pas survécu à sa chute. Le pont Leybar, autrefois réservé au passage du train, est depuis longtemps désaffecté, mais continue d’être utilisé de manière informelle, notamment par les enfants écoliers.
Ce drame remet à jour la question de la sécurité des infrastructures abandonnées. Gas El Salvador, activiste bien connu à Saint-Louis, a tiré la sonnette d’alarme. « Beaucoup d’enfants viennent sur ce pont pour y jouer. Ce n’est pas un endroit pour jouer, c’est très dangereux. Même les grandes personnes ont peur en le traversant. Nous demandons aux parents d’empêcher les enfants d’y accéder. »
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