Idrissa Seck a dénoncé mardi l’insistance de l’opposition à tenir sa manifestation de ce mercredi 08 juin. Le président du Conseil économique, social et environnemental (Cese) a clairement demandé à l’Etat de prendre ses responsabilités pour que l’ordre et le droit continuent à prévaloir dans le Sénégal.
Selon lui, une fois que le Conseil constitutionnel rend des décisions, personne n'a le droit de contester en organisant une marche ou un rassemblement.
« Le Conseil constitutionnel a pris les décisions définitives pour les partis ou coalitions politiques devant prendre part aux élections législatives du 31 juillet 2022. Personne n’a le droit de prolonger ce débat sous une autre forme. Les universitaires, les historiens et les intellectuels ont la loisibilité de poursuivre le débat, de commenter les décisions et les arrêts du Conseil constitutionnel. C’est de l’histoire, c’est de l’enseignement. Mais nous acteurs politiques, une fois que le Conseil Constitutionnel a rendu sa décision, nous sommes tenus de nous y soumettre à défaut de quoi, nous rompons l’équilibre de l’Etat de droit et nous faisons s’effondrer l’Etat dans notre pays. Il appartient alors à l’Etat de prendre ses responsabilités pour que l’Etat de droit continue à régner au Sénégal », a affirmé Idrissa Seck sur les ondes de i-Radio.
Selon lui, une fois que le Conseil constitutionnel rend des décisions, personne n'a le droit de contester en organisant une marche ou un rassemblement.
« Le Conseil constitutionnel a pris les décisions définitives pour les partis ou coalitions politiques devant prendre part aux élections législatives du 31 juillet 2022. Personne n’a le droit de prolonger ce débat sous une autre forme. Les universitaires, les historiens et les intellectuels ont la loisibilité de poursuivre le débat, de commenter les décisions et les arrêts du Conseil constitutionnel. C’est de l’histoire, c’est de l’enseignement. Mais nous acteurs politiques, une fois que le Conseil Constitutionnel a rendu sa décision, nous sommes tenus de nous y soumettre à défaut de quoi, nous rompons l’équilibre de l’Etat de droit et nous faisons s’effondrer l’Etat dans notre pays. Il appartient alors à l’Etat de prendre ses responsabilités pour que l’Etat de droit continue à régner au Sénégal », a affirmé Idrissa Seck sur les ondes de i-Radio.
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