Pendant que l’Etat du Sénégal manœuvre pour sauver la compagnie aérienne Sénégalaise d’une éventuelle faillite, son directeur général, Edgardo Badiali semble livrer une course contre la montre pour pilier les maigres ressources qui lui reste. Plusieurs dépenses sont à son profit pour des sociétés douteuses. Cette situation a fin de bouleverser les cadre de cette compagnie.
Aussi incroyable que cela puisse être pour une société qui était sur le point du dépôt de bilan, M. Badiali s’est attribué un salaire mensuel de 7,9 millions de FCFA. En plus, il est logé dans une villa de fonction payée à 3 millions de FCFA, pour les frais d’entretien c’est 250 000 par trimestre, 50 000 FCFA par moi pour le gasoil du groupe électrogène, un véhicule loué à 2 millions de FCFA par mois et conduit par un chauffeur rémunéré 250 000 FCFA.
Un pillage taillé sur mesure, mais il y a plus grave, nous apprends le quotidien Libération. Au moment ou les employés courent derrières les salaires de novembre non encore payés, hier, le Dg de la compagnie s’empresse de décaisser au profit d’autres sociétés des sommes énormes qui rien ne semble justifié : un affrètement à 300 000 dollars le mois pour un avions souvent en panne ; paiement de 1,2 millions de dollars à trois fournisseurs ; 200 millions de FCFA à une compagnie sud-africain sans pour autant utiliser ses services.
Au regard de toute cette dilapidation, des questions se posent, qui sont les personnes qui se cache derrière ces sociétés ? Pour pourquoi infligé autant de dépense à une société moribond ?
Aussi incroyable que cela puisse être pour une société qui était sur le point du dépôt de bilan, M. Badiali s’est attribué un salaire mensuel de 7,9 millions de FCFA. En plus, il est logé dans une villa de fonction payée à 3 millions de FCFA, pour les frais d’entretien c’est 250 000 par trimestre, 50 000 FCFA par moi pour le gasoil du groupe électrogène, un véhicule loué à 2 millions de FCFA par mois et conduit par un chauffeur rémunéré 250 000 FCFA.
Un pillage taillé sur mesure, mais il y a plus grave, nous apprends le quotidien Libération. Au moment ou les employés courent derrières les salaires de novembre non encore payés, hier, le Dg de la compagnie s’empresse de décaisser au profit d’autres sociétés des sommes énormes qui rien ne semble justifié : un affrètement à 300 000 dollars le mois pour un avions souvent en panne ; paiement de 1,2 millions de dollars à trois fournisseurs ; 200 millions de FCFA à une compagnie sud-africain sans pour autant utiliser ses services.
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