
Pr Penda Mbow (Photo:aps.sn)
Le débat a réuni des journalistes, des universitaires et des hommes politiques. Aujourd’hui la question du financement de partis politiques est complexe de l’avis de la conférencière et professeur d’histoire à l’université de Dakar, Penda Mbow. Selon elle «il n’y a pas d’égalité entre les différents protagonistes, les partis au pourvoir sont souvent privilégiés».
Elle a, en outre, indiqué qu’il y’a une nécessité de revoir la caution versé par les partis politiques car a-t-elle estimé «elle augmente de façon exponentielle». Par ailleurs, l’historienne a regretté le «manque de caractère» de certains partis politiques. Prenant l’exemple de la cap 21, Penda Mbow a martelé : «il faut faire la politique de manière participative et ne pas en faire un moyen de trouver des ressources».
Son collégue, Dr. El Hadji Oumar Diop, également professeur à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (Ucad), a mis l’accent sur les ressources d’origine étrangère des partis politiques nationaux. Il a soutenu : «Il faut assainir les mœurs politiques et éviter le financement des puissances politiques étrangers car une fois au pouvoir il faudra rendre l’ascenseur».
Elle a, en outre, indiqué qu’il y’a une nécessité de revoir la caution versé par les partis politiques car a-t-elle estimé «elle augmente de façon exponentielle». Par ailleurs, l’historienne a regretté le «manque de caractère» de certains partis politiques. Prenant l’exemple de la cap 21, Penda Mbow a martelé : «il faut faire la politique de manière participative et ne pas en faire un moyen de trouver des ressources».
Son collégue, Dr. El Hadji Oumar Diop, également professeur à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (Ucad), a mis l’accent sur les ressources d’origine étrangère des partis politiques nationaux. Il a soutenu : «Il faut assainir les mœurs politiques et éviter le financement des puissances politiques étrangers car une fois au pouvoir il faudra rendre l’ascenseur».
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