La commission d’instruction a suivi le réquisitoire du parquet qui demandait le renvoi de Karim Wade devant la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei). D’après une source au ministère de la Justice, le délit de corruption a été écarté et le montant du patrimoine visé n’a pour le moment, pas été précisé.
Au départ, les accusations portaient sur près d’un milliard d’euros puis s’est ajoutée une seconde mise en demeure qui portait sur vingt-quatre comptes bancaires établis à Monaco.
Ensuite, en début de semaine, dans son réquisitoire, le procureur spécial visait un patrimoine désormais réévalué à 518 millions d’euros. Parallèlement, la presse locale - citant la Crei - a fait état de soupçons portés sur un autre compte bancaire établi à Singapour et sur lequel Karim Wade aurait plus de 68 millions d’euros.
Une information que les avocats de Karim Wade contestent. En signe de transparence, ces derniers ont écrit au directeur de la Banque mondiale qui participe à un programme de recouvrement des avoirs volés. Les avocats lui demandent de « rapatrier ces prétendues sommes d’argent ».
« L’État du Sénégal est, à ce jour, incapable de produire le moindre rapport d’enquête ou d’audit démontrant des faits de corruption ou de détournements de deniers publics », commentent-ils.
Sur les sept co-inculpés poursuivis pour complicité d’enrichissement illicite, la justice sénégalaise a prononcé un non lieu pour cheikh Diallo - ancien conseiller de Karim Wade - et Boubacar Konaté, un ex-agent comptable des Aéroports du Sénégal.
Au départ, les accusations portaient sur près d’un milliard d’euros puis s’est ajoutée une seconde mise en demeure qui portait sur vingt-quatre comptes bancaires établis à Monaco.
Ensuite, en début de semaine, dans son réquisitoire, le procureur spécial visait un patrimoine désormais réévalué à 518 millions d’euros. Parallèlement, la presse locale - citant la Crei - a fait état de soupçons portés sur un autre compte bancaire établi à Singapour et sur lequel Karim Wade aurait plus de 68 millions d’euros.
Une information que les avocats de Karim Wade contestent. En signe de transparence, ces derniers ont écrit au directeur de la Banque mondiale qui participe à un programme de recouvrement des avoirs volés. Les avocats lui demandent de « rapatrier ces prétendues sommes d’argent ».
« L’État du Sénégal est, à ce jour, incapable de produire le moindre rapport d’enquête ou d’audit démontrant des faits de corruption ou de détournements de deniers publics », commentent-ils.
Sur les sept co-inculpés poursuivis pour complicité d’enrichissement illicite, la justice sénégalaise a prononcé un non lieu pour cheikh Diallo - ancien conseiller de Karim Wade - et Boubacar Konaté, un ex-agent comptable des Aéroports du Sénégal.
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