Panel de l'atelier de l'Université virtuelle Africaine
Les universités africaines devraient pouvoir rivaliser avec les grandes écoles européennes et américaines en matière de programmes de qualité en ligne. L’Université Virtuelle Africaine (UVA) basée à Nairobi (Kenya) est en train d’œuvrer dans ce sens. Elle a initié le Programme de Renforcement des Capacités des Institutions (PRECA) en partenariat avec beaucoup de pays d’Afrique. Un atelier de cinq jours de clôture du PRECA est ouvert ce lundi 26 janvier 2009 à Dakar.
Ce projet est financé par la Banque Africaine de Développement (BAD) avec une participation de la Banque Mondiale sous forme de don de 1,5 millions de dollars. Soit plus de 763 425 018 de francs CFA. La mission de l’UVA est d’accroître de façon significative l’accès à l’enseignement par le biais des Technologies de l’Information et de la Communication (TIC).
Le Recteur de l’UVA, le Docteur Bakary Diallo a fait savoir que «l’objectif du programme de renforcement des capacités des institutions (PRECA) est de créer des programmes de qualité supérieure en ligne, d’améliorer la qualité de l’enseignement supérieur». Selon lui, «L’UVA va permettre l’accès aux universités au grand nombre d’étudiants en donnant par le bais des TIC une alternative au manque de place dans les universités».
Bakary Diallo a, dans le même régisse, souligné que «les institutions partenaires de l’UVA dont l’Université Cheikh Anta Diop (UCAD) pourront créer des programmes de qualité supérieure en ligne. Cela va permettre d’atteindre les Objectifs du Millenaire pour le Développement (OMD)». Il a, en effet, estimé que «le projet offre une opportunité pour le Sénégal de former des cadres capables de développer le pays plus tard».
Présidant la cérémonie d’ouverture, le ministre de l’Enseignement secondaire, des Centres Universitaires Régionaux (CUR) et des Universités, le professeur Moustapha Sourang a indiqué que «les TIC facilitent le savoir et le savoir- faire. Un tel projet va permettre de réaliser les recommandations pertinentes de l’UNESCO concernant l’éducation et la formation pour tous».
C’est, en fait, dans cette optique que «le gouvernement du Sénégal s’est présenté au premier rang dans la lutte pour la réduction de la fracture numérique», a-t-il déclaré.
C’est ce qui, selon Moustapha Sourang, explique le soutien du Sénégal aux initiatives de l’UVA en matière de formation des enseignants et des autres acteurs de l’éducation, aux TIC et par les TIC.
Par ailleurs, le ministre de l’Enseignement secondaire, des Centres Universitaires Régionaux (CUR) et des Universités a salué le choix du Sénégal pour la phase pilote de ce projet avec l’Université Cheikh Anta Diop (UCAD). «L’Etat dans sa politique de réduction de la fracture numérique se prête à la distribution de 3 000 ordinateurs dans les écoles et lycées du pays», a-t-il ajouté.
Ce projet est financé par la Banque Africaine de Développement (BAD) avec une participation de la Banque Mondiale sous forme de don de 1,5 millions de dollars. Soit plus de 763 425 018 de francs CFA. La mission de l’UVA est d’accroître de façon significative l’accès à l’enseignement par le biais des Technologies de l’Information et de la Communication (TIC).
Le Recteur de l’UVA, le Docteur Bakary Diallo a fait savoir que «l’objectif du programme de renforcement des capacités des institutions (PRECA) est de créer des programmes de qualité supérieure en ligne, d’améliorer la qualité de l’enseignement supérieur». Selon lui, «L’UVA va permettre l’accès aux universités au grand nombre d’étudiants en donnant par le bais des TIC une alternative au manque de place dans les universités».
Bakary Diallo a, dans le même régisse, souligné que «les institutions partenaires de l’UVA dont l’Université Cheikh Anta Diop (UCAD) pourront créer des programmes de qualité supérieure en ligne. Cela va permettre d’atteindre les Objectifs du Millenaire pour le Développement (OMD)». Il a, en effet, estimé que «le projet offre une opportunité pour le Sénégal de former des cadres capables de développer le pays plus tard».
Présidant la cérémonie d’ouverture, le ministre de l’Enseignement secondaire, des Centres Universitaires Régionaux (CUR) et des Universités, le professeur Moustapha Sourang a indiqué que «les TIC facilitent le savoir et le savoir- faire. Un tel projet va permettre de réaliser les recommandations pertinentes de l’UNESCO concernant l’éducation et la formation pour tous».
C’est, en fait, dans cette optique que «le gouvernement du Sénégal s’est présenté au premier rang dans la lutte pour la réduction de la fracture numérique», a-t-il déclaré.
C’est ce qui, selon Moustapha Sourang, explique le soutien du Sénégal aux initiatives de l’UVA en matière de formation des enseignants et des autres acteurs de l’éducation, aux TIC et par les TIC.
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