L’Autorité de régulation des télécommunications et des postes (ART) a officiellement installé, jeudi, un comité dédié à la lutte contre l’importation et la commercialisation d’équipements radioélectriques non homologués ou contrefaits sur le marché sénégalais.
Lors de la cérémonie de lancement, le directeur général de l’ART, Dahirou Thiam, a tiré la sonnette d’alarme : « Nos marchés sont envahis par des équipements non conformes, tels que des répéteurs, des brouilleurs et des téléphones mobiles contrefaits. Ces produits ne respectent ni les normes techniques ni les standards internationaux en matière d’utilisation des fréquences et d’exposition aux champs électromagnétiques. »
Selon lui, cette situation dégrade non seulement la qualité des réseaux de télécommunications, mais présente également des risques pour la santé publique. Face à ce constat, l’ARTP a initié une approche concertée avec plusieurs institutions nationales, dont les Douanes sénégalaises, la Brigade de lutte contre la contrefaçon et la piraterie, l’Agence sénégalaise pour la propriété industrielle et l’innovation technologique (ASPIT), et l’Association sénégalaise de normalisation.
M. Thiam a précisé les missions du nouveau comité : « Il s’agit notamment d’harmoniser les actions pour une lutte plus efficace contre ces équipements illicites, ainsi que de mettre en place une unité opérationnelle chargée des saisies sur le terrain. »
Cette initiative s’inscrit dans une démarche plus large de sécurisation du marché et de protection des consommateurs contre les produits non conformes.
Lors de la cérémonie de lancement, le directeur général de l’ART, Dahirou Thiam, a tiré la sonnette d’alarme : « Nos marchés sont envahis par des équipements non conformes, tels que des répéteurs, des brouilleurs et des téléphones mobiles contrefaits. Ces produits ne respectent ni les normes techniques ni les standards internationaux en matière d’utilisation des fréquences et d’exposition aux champs électromagnétiques. »
Selon lui, cette situation dégrade non seulement la qualité des réseaux de télécommunications, mais présente également des risques pour la santé publique. Face à ce constat, l’ARTP a initié une approche concertée avec plusieurs institutions nationales, dont les Douanes sénégalaises, la Brigade de lutte contre la contrefaçon et la piraterie, l’Agence sénégalaise pour la propriété industrielle et l’innovation technologique (ASPIT), et l’Association sénégalaise de normalisation.
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