Le ministre d'Etat, ministre de l'Economie et des finances, Abdoulaye Diop
Cette rencontre a été présidée ce matin par le ministre d’Etat, ministre de l’Economie et des Finances, Abdoulaye Diop en présence du ministre de l’Education, Kalidou Diallo, des représentants des partenaires techniques et financiers dont le chef de file des bailleurs du secteur, l’Agence Française de Développement (AFD).
Cette lettre d’entente qui entre dans le cadre du processus d’harmonisation des aides en appui au Programme Décennal de l’Education et de la Formation (PDEF) décline les ambitions de ce secteur essentiel pour le développement économique et social. Elle marque l’unicité d’un programme couvrant tous les secteurs de l’éducation, enseignement moyen, supérieur, mais aussi l’enseignement technique et professionnel. Elle vise, en outre, à mieux aider le secteur de l’éducation incluant ainsi, élèves, étudiants, enseignants et personnel d’encadrement.
Le ministre d’Etat, ministre de l’Economie et des Finances a affirmé : «cette cérémonie vise l’augmentation significative de l’efficacité de l’aide publique au développement. Elle participe aussi à la nécessité de soutenir les efforts déployés par les pays partenaires et l’Etat du Sénégal en vue de faire en sorte que les ressources affectées au développement soient utilisées de manière plus efficace».
L’argentier de l’état d’indiquer : «sans avoir une valeur juridique en tant que tel, ce document traduit cependant la volonté des autorités sénégalaises et des partenaires techniques et financiers signataires de s’accorder sur les modalités de collaboration qu’ils entendent développer pour l’harmonisation des aides en soutien au PDEF. Nos partenaires doivent très tôt dire la somme allouée à l’éducation afin que le budget soit défini à temps».
Le chef de file des partenaires techniques et financiers du Sénégal, l’Agence Française de Développement a, à son tour, déclaré : «cette mobilisation a permis la construction d’une matrice d’indication qui entre dans la partie intégrante de la lettre d’entente traduisant des objectifs précis et mesurés au plan sectoriel ». Hormis, le représentant de l’AFD, cette cérémonie a vu la présence du représentant de la Banque Africaine de Développement (BAD), Mohamed H’midouche.
Le ministre de l’Education s’est, en outre, dit engagé à organiser des revues annuelles avec tous les acteurs concernés. Selon le coordonnateur du PDEF, ces revues vont permettre au gouvernement, aux partenaires et à la société civile de partager les informations sur l’avancement, les performances et les difficultés. «Elles vont aussi permettre de déboucher sur des décisions importantes pour la poursuite du programme» a fait savoir le ministre Kalidou Diallo.
Cette lettre d’entente qui entre dans le cadre du processus d’harmonisation des aides en appui au Programme Décennal de l’Education et de la Formation (PDEF) décline les ambitions de ce secteur essentiel pour le développement économique et social. Elle marque l’unicité d’un programme couvrant tous les secteurs de l’éducation, enseignement moyen, supérieur, mais aussi l’enseignement technique et professionnel. Elle vise, en outre, à mieux aider le secteur de l’éducation incluant ainsi, élèves, étudiants, enseignants et personnel d’encadrement.
Le ministre d’Etat, ministre de l’Economie et des Finances a affirmé : «cette cérémonie vise l’augmentation significative de l’efficacité de l’aide publique au développement. Elle participe aussi à la nécessité de soutenir les efforts déployés par les pays partenaires et l’Etat du Sénégal en vue de faire en sorte que les ressources affectées au développement soient utilisées de manière plus efficace».
L’argentier de l’état d’indiquer : «sans avoir une valeur juridique en tant que tel, ce document traduit cependant la volonté des autorités sénégalaises et des partenaires techniques et financiers signataires de s’accorder sur les modalités de collaboration qu’ils entendent développer pour l’harmonisation des aides en soutien au PDEF. Nos partenaires doivent très tôt dire la somme allouée à l’éducation afin que le budget soit défini à temps».
Le chef de file des partenaires techniques et financiers du Sénégal, l’Agence Française de Développement a, à son tour, déclaré : «cette mobilisation a permis la construction d’une matrice d’indication qui entre dans la partie intégrante de la lettre d’entente traduisant des objectifs précis et mesurés au plan sectoriel ». Hormis, le représentant de l’AFD, cette cérémonie a vu la présence du représentant de la Banque Africaine de Développement (BAD), Mohamed H’midouche.
Le ministre de l’Education s’est, en outre, dit engagé à organiser des revues annuelles avec tous les acteurs concernés. Selon le coordonnateur du PDEF, ces revues vont permettre au gouvernement, aux partenaires et à la société civile de partager les informations sur l’avancement, les performances et les difficultés. «Elles vont aussi permettre de déboucher sur des décisions importantes pour la poursuite du programme» a fait savoir le ministre Kalidou Diallo.
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