Le Bureau politique de l’Alliance pour la Citoyenneté et le Travail (ACT) condamne avec la plus grande énergie la série de meurtres perpétrés à travers le pays. Présidé par Abdoul Mbaye, ledit bureau tient à présenter «ses plus sincères et attristées condoléances aux familles des victimes et en particulier celles du chauffeur de taxi Ibrahima Samb, de Ibrahima Diallo et Moustapha Faye assassinées à Ndioum et de Madame Fatoumata Mactar Ndiaye, conseillère au CESE» (Conseil Economique, Social et Environnemental).
«Ces meurtres, dont les media se sont fait l’écho et ceux moins médiatisés sont malheureusement le signe d’une grandissante insécurité et d’une mauvaise prise en charge de la sécurité des citoyens. Le Chef de l’Etat a implicitement reconnu, lors de la réunion du Conseil des ministres du 23 novembre 2016, cette mauvaise prise en charge de la sécurité des citoyens, lorsqu’il a demandé à chaque Gouverneur de région de lui faire le diagnostic local de la situation sécuritaire au niveau de sa circonscription», analysent Abdoul Mbaye et Cie.
Ainsi, le Bureau politique exhorte «le Gouvernement du Sénégal à faire preuve davantage de sérieux dans la prise en charge du problème de l’insécurité grandissante sur l’ensemble du territoire ». L’ACT demande «au Gouvernement de s’attaquer de manière franche à ce fléau en commençant par améliorer les conditions de travail des forces de sécurité, en renforçant leurs personnels et en les dotant de meilleurs équipements. Ceci bien évidemment, dans l’attente de pouvoir appliquer une politique sécuritaire réellement capable d’installer une certaine sérénité partout au Sénégal».
En particulier, il recommande «vivement de nouvelles affectations budgétaires permettant de consacrer moins de moyens humains, matériels et financiers à la répression des manifestations citoyennes et pacifiques, afin de consacrer davantage à la protection des populations».
«Ces meurtres, dont les media se sont fait l’écho et ceux moins médiatisés sont malheureusement le signe d’une grandissante insécurité et d’une mauvaise prise en charge de la sécurité des citoyens. Le Chef de l’Etat a implicitement reconnu, lors de la réunion du Conseil des ministres du 23 novembre 2016, cette mauvaise prise en charge de la sécurité des citoyens, lorsqu’il a demandé à chaque Gouverneur de région de lui faire le diagnostic local de la situation sécuritaire au niveau de sa circonscription», analysent Abdoul Mbaye et Cie.
Ainsi, le Bureau politique exhorte «le Gouvernement du Sénégal à faire preuve davantage de sérieux dans la prise en charge du problème de l’insécurité grandissante sur l’ensemble du territoire ». L’ACT demande «au Gouvernement de s’attaquer de manière franche à ce fléau en commençant par améliorer les conditions de travail des forces de sécurité, en renforçant leurs personnels et en les dotant de meilleurs équipements. Ceci bien évidemment, dans l’attente de pouvoir appliquer une politique sécuritaire réellement capable d’installer une certaine sérénité partout au Sénégal».
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