Pour l’heure, les gendarmes refusent de diffuser son nom mais un suspect pouvant mener à la piste des assassins de Tambacounda a été arrêté hier. L’opération eu lieu au quartier Salikéné où il a été alpagué dans une maison avec des coupes coupes dissimulés dans un sac. Une sérieuse piste pour le démantèlement des bourreaux des malades mentaux.
C’est le 26 juillet 2013 que les tueurs ont sévi pour la première fois. Revenant à la charge, ils enchaînent crime par crime à des intervalles compris entre une semaine voire un mois. Leurs proies favorites sont les malades mentaux errants. Un responsable de la police de la localité qui dénombre sept (7) morts entre cette date du 26 juillet au 6 mars dernier et qui assure avoir assisté à tous les constats d’usage après meurtre, de préciser dans les colonnes du journal « enquête » que sur les sept (7) corps dont six (6) hommes et une (1) femme, la disparition d’organes n’a été constater que sur un seul corps, le reste était intact. Avant d’assurer qu’il n’écarte aucune piste. « On a entendu parler de pratiques magico-religieuses qui serait à l’origine de ces meurtres. C’est possible. Nous n’écartons aucune piste ».
Après la mort de la septième victime, c’est le ministre de l’Intérieur, Abdoulaye Daouda Diallo lui-même qui s’était rendu dans la dite région en compagnie de la Directrice Générale de la Police Nationale (DGPN), Anna Sémou Faye. Tous les malades mentaux avaient été répertoriés. Autour de 25, les autorités sont bien décidées à les protéger. Ce, en attendant que le seul centre psychiatrique de Jingcoré dont dispose la région soit remis en état.
C’est le 26 juillet 2013 que les tueurs ont sévi pour la première fois. Revenant à la charge, ils enchaînent crime par crime à des intervalles compris entre une semaine voire un mois. Leurs proies favorites sont les malades mentaux errants. Un responsable de la police de la localité qui dénombre sept (7) morts entre cette date du 26 juillet au 6 mars dernier et qui assure avoir assisté à tous les constats d’usage après meurtre, de préciser dans les colonnes du journal « enquête » que sur les sept (7) corps dont six (6) hommes et une (1) femme, la disparition d’organes n’a été constater que sur un seul corps, le reste était intact. Avant d’assurer qu’il n’écarte aucune piste. « On a entendu parler de pratiques magico-religieuses qui serait à l’origine de ces meurtres. C’est possible. Nous n’écartons aucune piste ».
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