Les quatre projets de loi actuellement en examen à l’Assemblée nationale font l’objet d’amendements, à l’initiative des députés ou de la société civile, a révélé ce dimanche 24 août le Premier vice-président de l’Assemblée, Ismaïla Diallo.
Cependant, le député a déclaré qu’il ne pouvait se prononcer sur ces amendements, les projets de loi étant toujours en commission pour examen.
Invité de l’émission Face au Jury sur PressAfrik TV, Ismaïla Diallo a affirmé que ces projets de loi s’inscrivent dans la vision claire de la majorité présidentielle. « Ces réformes, qui reflètent notre volonté de promouvoir la bonne gouvernance et la transparence, font partie de notre projet politique présenté aux Sénégalais lors de l’élection présidentielle ainsi que des législatives », a-t-il déclaré.
Interpellé sur la non-déclaration de patrimoine du président de la République à sa sortie de fonction, le député du parti Pastef a rappelé que c’est la Constitution du Sénégal qui exempte le chef de l’État de cet exercice, tout en affirmant que le président, par souci de transparence, n’a aucun problème à s’y soumettre.
À ce sujet, il a précisé que toute personne gérant un budget public est assujettie, en vertu de la loi, à l’obligation de déclaration de patrimoine, y compris les membres du bureau de l’Assemblée nationale.
Concernant le projet de loi sur l’accès à l’information, Ismaïla Diallo a reconnu certains manquements, comme l’a relevé l’ONG Article 19. Il a assuré que ces remarques seront prises en compte avant le vote du texte en séance plénière.
Interrogé sur les accusations selon lesquelles le pouvoir chercherait à se séparer du président de l’OFNAC, Serigne Bassirou Guèye, à travers une réforme de cette institution, le vice-président a tenu à rappeler qu’« une loi est impersonnelle, mais pas contre une personne ».
Ismaïla Diallo a également évoqué les ruptures opérées à l’Assemblée nationale depuis l’arrivée de la nouvelle législature. Selon lui, ces réformes ont permis à l’institution parlementaire de se départir des mauvaises pratiques qui y prévalaient. « Les comportements qui ternissaient l’image de l’institution sont désormais révolus », a-t-il estimé.
Cependant, le député a déclaré qu’il ne pouvait se prononcer sur ces amendements, les projets de loi étant toujours en commission pour examen.
Invité de l’émission Face au Jury sur PressAfrik TV, Ismaïla Diallo a affirmé que ces projets de loi s’inscrivent dans la vision claire de la majorité présidentielle. « Ces réformes, qui reflètent notre volonté de promouvoir la bonne gouvernance et la transparence, font partie de notre projet politique présenté aux Sénégalais lors de l’élection présidentielle ainsi que des législatives », a-t-il déclaré.
Interpellé sur la non-déclaration de patrimoine du président de la République à sa sortie de fonction, le député du parti Pastef a rappelé que c’est la Constitution du Sénégal qui exempte le chef de l’État de cet exercice, tout en affirmant que le président, par souci de transparence, n’a aucun problème à s’y soumettre.
À ce sujet, il a précisé que toute personne gérant un budget public est assujettie, en vertu de la loi, à l’obligation de déclaration de patrimoine, y compris les membres du bureau de l’Assemblée nationale.
Concernant le projet de loi sur l’accès à l’information, Ismaïla Diallo a reconnu certains manquements, comme l’a relevé l’ONG Article 19. Il a assuré que ces remarques seront prises en compte avant le vote du texte en séance plénière.
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