Le secrétaire général de l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF, Abdou Diouf se dit « très préoccupé par les actes de violence et les violations des droits de l’Homme, ainsi que par la situation humanitaire » en République centrafricaine.
« Cette remise en cause est inacceptable pour la communauté francophone attachée aux principes de la démocratie et de l’Etat de droit », tonne-t-il dans un communiqué lu par le journal « L’Observateur ».
Tout en condamnant la prise de pouvoir par la force par la coalition Séléka, l’ancien président de la République du Sénégal déplore « une violation flagrante des accords de Libreville ». Il appelle néanmoins toutes les parties centrafricaines à la retenue et exhorte les autorités à garantir le respect des droits de l’Homme, des libertés et de la sécurité des populations.
Actuellement, le premier responsable de la Centrafrique reste Michel Djotodia, chef de la rébellion Séléka qui a contraint le président François Bozizé, au pouvoir depuis dix (10), à l’exile au Cameroun. Il faut noter que ce dernier avait pris également le pouvoir par les armes.
Autres articles
-
Présidence de la République : « Demain, ça sera peut-être Ousmane Sonko. Je prie pour cela» (Diomaye Faye)
-
Crise économique et sociale : Thierno Alassane Sall met en cause la gouvernance de Pastef
-
Tournée économique en Casamance : la Coalition Diomaye Président–Kolda lance un appel républicain et citoyen à la mobilisation
-
Protection sociale : plaidoyer pour la ratification du protocole de la Charte africaine à l'Assemblée nationale
-
Budget de la Santé 2026 : le ministère justifie la hausse de ses crédits




Présidence de la République : « Demain, ça sera peut-être Ousmane Sonko. Je prie pour cela» (Diomaye Faye)


