La section du Syndicat Autonome de l’Enseignement du Supérieur (SAES) de l’Université Gaston Berger de Saint-Louis (UGB) a tenu ce mercredi 21 mai 2014 à 12H15 une Assemblée Générale (AG) qui a permis d’échanger sur la situation insoutenable qui prévaut dans les universités sénégalaises, en général, et à l’UGB, en particulier. La section constate avec regret le blocage de toutes les activités pédagogiques, dû à un ensemble de facteurs prévisibles : massification incontrôlée des effectifs, insuffisance des infrastructures pédagogiques, déficit en enseignants, grèves récurrentes des étudiants.
Cette situation alarmante hypothèque selon les syndicalistes, l’année universitaire 2013-2014. En ce sens, le SAES-UGB dans un communiqué parvenu à notre rédaction de précisé avoir « déjà, le 20 novembre 2013, attiré l’attention de l’opinion publique sur les risques d’instabilité pesant sur l’année universitaire! 201372014, en raison des méthodes cavalières du Ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique (MESR), dont la seule finalité est la remise en cause du principe inaliénable de l’autonomie des universités. L’examen et l’adoption récents, en conseil des ministres, du projet de loi sur la gouvernance universitaire sans aucune concertation en est la dernière illustration, martèle la section SAES de Saint-Louis qui ne manque pas de condamner.
Et ce, avec la dernière énergie les méthodes du MESR : l’absence de concertation sur les décisions majeures (orientation des étudiants, loi sur la gouvernance des universités, etc.), l’accaparement des prérogatives des universités en violation des lois et règlements en vigueur. Ils dénoncent en outre : les conditions difficiles de travail des étudiants, des enseignants et des personnels administratifs et techniques et de service, la mise sous le boisseau des accords entre le gouvernement et le SAES.
Aussi, la section SAES-UGB dégage toute responsabilité dans la crise actuelle et ses éventuels prolongements sur le déroulement de l’année académique.
« Vive!l’Université!sénégalaise,!vive!le!SAES!!! », scandent-ils.
Cette situation alarmante hypothèque selon les syndicalistes, l’année universitaire 2013-2014. En ce sens, le SAES-UGB dans un communiqué parvenu à notre rédaction de précisé avoir « déjà, le 20 novembre 2013, attiré l’attention de l’opinion publique sur les risques d’instabilité pesant sur l’année universitaire! 201372014, en raison des méthodes cavalières du Ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique (MESR), dont la seule finalité est la remise en cause du principe inaliénable de l’autonomie des universités. L’examen et l’adoption récents, en conseil des ministres, du projet de loi sur la gouvernance universitaire sans aucune concertation en est la dernière illustration, martèle la section SAES de Saint-Louis qui ne manque pas de condamner.
Et ce, avec la dernière énergie les méthodes du MESR : l’absence de concertation sur les décisions majeures (orientation des étudiants, loi sur la gouvernance des universités, etc.), l’accaparement des prérogatives des universités en violation des lois et règlements en vigueur. Ils dénoncent en outre : les conditions difficiles de travail des étudiants, des enseignants et des personnels administratifs et techniques et de service, la mise sous le boisseau des accords entre le gouvernement et le SAES.
Aussi, la section SAES-UGB dégage toute responsabilité dans la crise actuelle et ses éventuels prolongements sur le déroulement de l’année académique.
« Vive!l’Université!sénégalaise,!vive!le!SAES!!! », scandent-ils.
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