La finance islamique est essentiellement basée sur les principes de la législation islamique (Charia), explique Sophie Coulibaly Mbengue. Elle s'adosse à ces principes, c’est la « raison pour laquelle on ne prélève pas de taux d'intérêts », explique Mme Mbengue cheffe d'entreprise spécialisée en finances islamiques, lors de son intervention sur l'émission MidiKeng sur PressAfriktv HD, ce mardi.
« Aujourd'hui, beaucoup de banques ont commencé à ouvrir des filiales islamiques parce que cette pratique prend de plus en plus d'ampleur », a-t-elle ajouté.
« C'est un mécanisme qui repose sur l'éthique et les principes islamiques », explique Mme Mbengue. Selon la cheffe d’entreprise, toutes les activités financées dans ce cadre doivent être conformes à la réglementation islamique (charia). « Toutes les activités doivent être Halal (conforme à la charia) », explique la spécialiste en finance islamique.
Mme Mbengue d’expliquer que les « banques islamiques se font rembourser sur les intérêts de leurs clients ». Sophie Coulibaly Mbengue indique aussi que les « banques ne financent pas d'habitude les entreprises surendettées ou bien qui sont en contentieux ».
Selon Mme Mbengue, les « banques islamiques interviennent dans le financement classique, l'investissement, le financement d'activité et d'octroi de crédit à bail. Des bons et obligations sont aussi levés auprès des banques islamiques ».
« Aujourd'hui, beaucoup de banques ont commencé à ouvrir des filiales islamiques parce que cette pratique prend de plus en plus d'ampleur », a-t-elle ajouté.
« C'est un mécanisme qui repose sur l'éthique et les principes islamiques », explique Mme Mbengue. Selon la cheffe d’entreprise, toutes les activités financées dans ce cadre doivent être conformes à la réglementation islamique (charia). « Toutes les activités doivent être Halal (conforme à la charia) », explique la spécialiste en finance islamique.
Mme Mbengue d’expliquer que les « banques islamiques se font rembourser sur les intérêts de leurs clients ». Sophie Coulibaly Mbengue indique aussi que les « banques ne financent pas d'habitude les entreprises surendettées ou bien qui sont en contentieux ».
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